Dans cette référence, les fonctions de Tableau sont organisées par catégorie. Cliquez sur une catégorie pour parcourir ses fonctions. Vous pouvez sinon appuyer sur Ctrl+F (Cmd-F sur un Mac) pour ouvrir un champ de recherche et l'utiliser pour rechercher la page d'une fonction spécifique.
Fonction | Syntaxe | Description | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
ABS |
| Renvoie la valeur absolue d'un nombre donné. Exemples :
Le deuxième exemple renvoie la valeur absolue pour tous les nombres contenus dans le champ | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
ACOS |
| Renvoie l'arc cosinus d'un nombre donné. Le résultat est exprimé en radians. Exemple :
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ASIN |
| Renvoie l'arc sinus d'un nombre donné. Le résultat est exprimé en radians. Exemple :
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ATAN | ATAN(number) | Renvoie l'arc tangente d'un nombre donné. Le résultat est exprimé en radians. Exemple :
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ATAN2 |
| Renvoie l'arc tangente de deux nombres données (x et y). Le résultat est exprimé en radians. Exemple :
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CEILING |
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COS |
| Renvoie le cosinus d'un angle. Spécifiez l'angle en radians. Exemple :
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COT |
| Renvoie la cotangente d'un angle. Spécifiez l'angle en radians. Exemple :
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DEGREES |
| Convertit en degrés un nombre donné exprimé en radians. Exemple :
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DIV | DIV(integer1, integer2) | Retourne la part d'entier d'une opération de division, à savoir entier1 divisé par entier2. Exemple :
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EXP |
| Renvoie la valeur e élevée à la puissance du nombre donné. Exemples :
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FLOOR |
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HEXBINX |
| Mappe des coordonnées x, y sur la coordonnée x de la classe hexagonale la plus proche. Les classes ayant une longueur latérale de 1, il est possible que vous deviez dimensionner les entrées. HEXBINX et HEXBINY sont des fonctions de répartition en classe et de tracé pour des classes hexagonales. Les classes hexagonales offrent un moyen efficace et simple pour visualiser les données dans un plan x/y tel qu'une carte. Du fait que les classes sont hexagonales, chaque classe se rapproche d'un cercle et réduit l'écart de distance entre le point de données et le centre de la classe. Cela permet de rendre le clustering plus précis et informatif. Exemple :
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HEXBINY |
| Mappe des coordonnées x, y sur la coordonnée y de la classe hexagonale la plus proche. Les classes ayant une longueur latérale de 1, il est possible que vous deviez dimensionner les entrées. Exemple :
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LN |
| Renvoie le logarithme naturel d'un nombre. Renvoie la valeur | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
LOG |
| Renvoie le logarithme naturel d'un nombre pour la base donnée. Si la valeur de base n'est pas indiquée, la base 10 est utilisée. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
MAX |
| Renvoie la valeur maximum des deux arguments, qui doivent être du même type. Renvoie la valeur Exemples :
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MIN |
| Renvoie la valeur minimum des deux arguments, qui doivent être du même type. Renvoie la valeur Exemples :
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PI |
| Renvoie la constante numérique PI : 3.14159. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
POWER |
| Élève le nombre à la puissance indiquée. Exemples :
Vous pouvez également utiliser le symbole ^ :
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RADIANS |
| Convertit en radians un nombre donné exprimé en degrés. Exemple :
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ROUND |
| Arrondit les nombres à un nombre donné de chiffres. L'argument Exemple : Cet exemple arrondit toutes les valeurs de
Certaines bases de données, telles que SQL Server, autorisent l'indication d'une valeur Remarque : étant donné que ROUND peut rencontrer des problèmes en raison de la représentation sous-jacente des nombres en virgule flottant (par exemple 9,405 arrondi à 9,40), il peut être préférable de formater le nombre avec le nombre de décimales souhaité plutôt que d'arrondir. Le formatage de 9,405 à deux décimales donnera le nombre 9,41 attendu. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
SIGN |
| Renvoie le signe d'un nombre. Les valeurs renvoyées sont -1 si le nombre est négatif, 0 s'il est égal à zéro ou 1 s'il est positif. Exemple : Si la moyenne du champ des profits est négative, alors
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SIN |
| Renvoie le sinus d'un angle. Spécifiez l'angle en radians. Exemples :
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SQRT |
| Renvoie la racine carrée d'un nombre. Exemple :
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SQUARE |
| Renvoie le carré d'un nombre. Exemple :
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TAN |
| Renvoie la tangente d'un angle. Spécifiez l'angle en radians. Exemple :
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ZN |
| Renvoie l'expression si celle-ci n'est pas nulle ; sinon renvoie la valeur zéro. Utilisez cette fonction pour utiliser des valeurs égales à zéro au lieu de valeurs nulles. Exemple :
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Fonction | Syntaxe | Définition | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
ASCII | ASCII(string) | Renvoie le code ASCII du premier caractère de Exemple :
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CHAR | CHAR(number) | Renvoie le caractère encodé à l'aide du nombre du code ASCII Exemple :
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CONTAINS | CONTAINS(string, substring) | Renvoie TRUE si la chaîne donnée contient la sous-chaîne indiquée. Exemple :
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ENDSWITH | ENDSWITH(string, substring) | Renvoie TRUE si la chaîne donnée se termine par la sous-chaîne indiquée. Les espaces en fin de chaîne sont ignorés. Exemple :
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FIND | FIND(string, substring, [start]) | Renvoie la position d'index de la Exemples :
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FINDNTH | FINDNTH(string, substring, occurrence) | Renvoie la position de la nième occurrence de la sous-chaîne dans la chaîne spécifiée, où n est défini par l'argument d'occurrence. Remarque : FINDNTH n'est pas disponible pour toutes les sources de données. Exemple :
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LEFT | LEFT(string, number) | Renvoie les caractères situés le plus à gauche dans la chaîne. Exemple :
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LEN | LEN(string) | Renvoie la longueur de la chaîne. Exemple :
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LOWER | LOWER(string) | Renvoie Exemple :
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LTRIM | LTRIM(string) | Renvoie la chaîne en supprimant les espaces de début. Exemple :
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MAX |
| Renvoie la valeur maximale de Exemple :
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MID | (MID(string, start, [length]) | Renvoie la chaîne débutant à la position d'index Exemples :
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MIN | MIN(a, b) | Renvoie la valeur minimale de Exemple :
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PROPER | PROPER(string) | Convertit une chaîne de texte de manière à ce que la première lettre de chaque mot soit en majuscules et les autres lettres en minuscules. Les espaces et les caractères non alphanumériques tels que la ponctuation font également office de séparateurs. Exemple :
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REPLACE | REPLACE(string, substring, replacement) | Recherche la valeur Exemple :
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RIGHT | RIGHT(string, number) | Renvoie les caractères situés le plus à droite dans la Exemple :
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RTRIM | RTRIM(string) | Renvoie Exemple :
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SPACE | SPACE(number) | Renvoie une chaîne constituée du Exemple :
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SPLIT(string, delimiter, token number) |
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STARTSWITH | STARTSWITH(string, substring) | Renvoie true si Exemple :
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TRIM | TRIM(string) | Renvoie la chaîne en supprimant les espaces de début et de fin. Exemple :
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UPPER | UPPER(string) | Renvoie la chaîne avec tous les caractères en majuscules. Exemple :
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Tableau propose une variété de fonctions de date. La majorité des exemples utilisent le symbole #
avec les expressions de date. Consultez lSyntaxe des expressions littérales pour plus de détails sur ce symbole. De plus, la majorité des fonctions de date utilisent date_part
, qui correspond à un argument de type chaîne de caractères constante. Les valeurs date_part
valides que vous pouvez utiliser sont les suivantes :
date_part | Valeurs |
---|---|
'year' | Année exprimée à l'aide de quatre chiffres |
'quarter' | 1-4 |
'month' | 1-12 ou "janvier", "février", etc. |
'dayofyear' | Jour de l'année ; 1 correspond au 1er janvier, 32 correspond au 1er février, etc. |
'day' | 1-31 |
'weekday' | 1-7 ou "lundi, "mardi, etc. |
'week' | 1-52 |
'hour' | 0-23 |
'minute' | 0-59 |
'second' | 0-60 |
Remarque : Les fonctions de date ne prennent pas en considération le début de l'année fiscale configurée. Voir Dates fiscales.
Fonction | Syntaxe | Description |
DATEADD |
| Retourne la date spécifiée avec le numéro spécifié Prend en charge les dates ISO 8601. Exemple :
Cette expression permet d'ajouter trois mois à la date |
DATEDIFF |
| Renvoie la différence entre Le paramètre Prend en charge les dates ISO 8601. Exemples :
La première expression renvoie 1, car lorsque |
DATENAME |
| Renvoie Prend en charge les dates ISO 8601. Exemples :
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DATEPARSE | DATEPARSE(date_format, [date_string]) | Retourne [date_string] sous forme de date. L’argument date_format décrit comment le champ [chaîne] est disposé. Étant donné que le champ de type chaîne peut être disposé de multiples manières, date_format doit correspondre exactement. Pour une explication complète, consultez Convertir un champ en un champ de date. Exemple :
Remarque : cette fonction est disponible dans les connecteurs suivants : connexions aux fichiers Excel et texte non hérités, Amazon EMR Hadoop Hive, Cloudera Hadoop, Google Sheets, Hortonworks Hadoop Hive, MapR Hadoop Hive, MySQL, Oracle, PostgreSQL et extraits Tableau. Certains formats peuvent ne pas être disponibles pour toutes les connexions. Remarque : DATEPARSE n’est pas pris en charge sur les variantes Hive. Seuls Denodo, Drill et Snowflake sont pris en charge. |
DATEPART |
| Renvoie Le paramètre Remarque : Lorsque Prend en charge les dates ISO 8601. Exemples :
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DATETRUNC |
| Tronque la date indiquée au niveau indiqué par la valeur date_part. Cette fonction renvoie une nouvelle date. Par exemple, lorsque vous tronquez une date qui se situe au milieu du mois au niveau mois, cette fonction renvoie le premier jour du mois. Le paramètre Prend en charge les dates ISO 8601. Exemples :
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DAY |
| Renvoie le jour d'une date donnée sous la forme d'un entier. Exemple :
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ISDATE |
| Renvoie la valeur vrai si une chaîne donnée est une date valide. Exemple :
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MAKEDATE |
| Renvoie une valeur de date créée à partir de l'année, du mois et du jour spécifiés. Disponible pour les extraits de données Tableau. Vérifiez la disponibilité dans d'autres sources de données. Exemple :
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MAKEDATETIME |
| Renvoie des données date/heure composées d'une date et d'une heure. La date peut être une information de type date, date/heure ou chaîne. L'heure doit être une information de type date/heure. Remarque : Cette fonction est disponible uniquement pour les connexions compatibles MySQL (pour Tableau, MySQL et Amazon Aurora). Exemples :
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MAKETIME |
| Renvoie une valeur de date créée à partir de l'heure, des minutes et des secondes spécifiées. Disponible pour les extraits de données Tableau. Vérifiez la disponibilité dans d'autres sources de données. Exemple :
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MAX |
| S'applique généralement aux nombres, mais fonctionne également sur les dates. Renvoie la valeur maximale de Exemples :
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MIN |
| S'applique généralement aux nombres, mais fonctionne également sur les dates. Renvoie la valeur minimale de Exemples :
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MONTH |
| Renvoie le mois d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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NOW |
| Renvoie la date et l'heure actuelles du système local. Exemple :
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QUARTER | QUARTER ( ) | Renvoie le trimestre d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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TODAY |
| Renvoie la date actuelle. Exemple :
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WEEK | WEEK( ) | Renvoie la semaine d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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YEAR |
| Renvoie l'année d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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ISOQUARTER | ISOQUARTER (date) | Renvoie le trimestre ISO8601 basé sur les semaines d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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ISOWEEK | ISOWEEK (date) | Renvoie la semaine ISO8601 basée sur les semaines d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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ISOWEEKDAY | ISOWEEKDAY (date) | Renvoie le jour ISO8601 basé sur les semaines d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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ISOYEAR | ISOYEAR (date) | Renvoie l’année ISO8601 basée sur les semaines d'une date donnée sous la forme d'un nombre entier. Exemple :
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Fonction | Syntaxe | Description |
IN | <expr1> IN <expr2> | Renvoie TRUE si une valeur dans Les valeurs dans Exemples :
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AND | IF <expr1> AND <expr2> THEN <then> END | Conjonction logique entre deux expressions. Exemple :
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CASE | CASE <expression> WHEN <value1> THEN <return1> WHEN
<value2> THEN <return2> ... ELSE <default return> END | Effectue des tests logiques et renvoie les valeurs appropriées. La fonction CASE évalue CASE prend également en charge la construction WHEN IN, par exemple :
Les valeurs dans WHEN IN peuvent être un ensemble, une liste de valeurs littérales ou un champ combiné. Notes complémentaires
Exemples :
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ELSE | IF <expr> THEN <then> ELSE <else> END | Teste une série d'expressions renvoyant la valeur <then> pour la première <expr> vraie. Exemple :
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ELSEIF | IF <expr> THEN <then> [ELSEIF <expr2> THEN <then2>...] [ELSE <else>] END | Teste une série d'expressions renvoyant la valeur <then> pour la première <expr> vraie. Exemple :
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END | IF <expr> THEN <then> [ELSEIF <expr2> THEN <then2>...] [ELSE <else>] END | Teste une série d'expressions renvoyant la valeur <then> pour la première <expr> vraie. Doit être placée à la fin d'une expression. Exemple :
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IF | IF <expr> THEN <then> [ELSEIF <expr2> THEN <then2>...] [ELSE <else>] END | Teste une série d'expressions renvoyant la valeur <then> pour la première <expr> vraie. Exemple :
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IFNULL | IFNULL(expr1, expr2) | Renvoie <expr1> si elle n'est pas nulle, sinon renvoie <expr2>. Exemple :
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IIF | IIF(test, then, else, [unknown]) | Vérifie si une condition est remplie, et renvoie une valeur si TRUE, une autre valeur si FALSE, et une troisième valeur optionnelle ou NULL si inconnu. Exemple :
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ISDATE | ISDATE(string) | Renvoie la valeur vrai si une chaîne donnée est une date valide. Exemple :
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ISNULL | ISNULL(expression) | Renvoie la valeur True si l'expression est NULL (ne contient pas de données valides). Exemple :
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MAX | MAX(expression) ou Max(expr1, expr2) | Renvoie la valeur maximum d'une seule expression parmi tous les enregistrements ou la valeur maximum de deux expressions pour chaque enregistrement. Exemple :
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MIN | MIN(expression) ou MIN(expr1, expr2) | Renvoie la valeur minimum d'une expression parmi tous les enregistrements ou la valeur minimum de deux expressions pour chaque enregistrement. Exemple :
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NOT | IF NOT <expr> THEN <then> END | Négation logique entre deux expressions. Exemple :
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OU | IF <expr1> OR <expr2> THEN <then> END | Disjonction logique entre deux expressions. Exemple :
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THEN | IF <expre> THEN <then> [ELSEIF ,expr2> THEN <then2>...] [ELSE <else>] END | Teste une série d'expressions renvoyant la valeur <then> pour la première <expr> vraie. Exemple :
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WHEN | CASE <expr> WHEN <Value1> THEN <return1> ... [ELSE <else>] END | Trouve la première <value> correspondant à <expr> et renvoie la valeur <return> correspondante. Exemple :
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ZN | ZN(expression) | Renvoie <expression> si celle-ci n'est pas nulle, sinon renvoie zéro. Exemple :
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Agrégations et arithmétique à virgule flottante : Certaines agrégations peuvent donner des résultats inattendus. Par exemple, il se peut que la fonction Somme renvoie une valeur telle que -1.42e-14 pour une colonne de nombres dont la somme devrait logiquement être 0. Cela se produit car le standard en virgule flottante 754 de l'IEEE (Institut des Ingénieurs Electroniciens et Electriques) demande que les nombres soient enregistrés dans un format binaire, ce qui signifie qu'ils sont parfois arrondis à des niveaux de précision très fins. Vous pouvez éviter cette distraction potentielle en utilisant la fonction ROUND (reportez-vous à la rubrique Fonctions de nombre) ou en mettant en forme le nombre pour afficher moins de décimales.
Fonction | Syntaxe | Définition |
ATTR |
| Renvoie la valeur de l'expression si cette valeur est unique pour toutes les lignes. Dans le cas contraire, la valeur renvoyée est Null. Les valeurs nulles sont ignorées. |
AVG |
| Renvoie la moyenne de toutes les valeurs de l'expression. La fonction AVG ne s'utilise qu'avec des champs numériques. Les valeurs nulles sont ignorées. |
COLLECT |
| Un calcul agrégé combinant les valeurs dans le champ d'argument. Les valeurs nulles sont ignorées. Remarque : la fonction COLLECT peut uniquement être utilisée avec les champs de données spatiales. Exemple :
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CORR |
| Renvoie le coefficient de corrélation Pearson de deux expressions. La corrélation Pearson mesure la relation linéaire entre les deux variables. Les résultats vont de -1 à +1 inclus, où 1 dénote une relation linéaire positive exacte, comme lorsqu'un changement positif dans une variable implique un changement positif de magnitude correspondante dans l'autre, 0 ne dénote aucune relation linéaire entre la variance, et -1 est une relation négative exacte. CORR est disponible pour les sources de données suivantes :
Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d'extraire les données ou d'utiliser WINDOW_CORR. Consultez Fonctions de calcul de table. Remarque : le carré d'un résultat CORR est équivalent à la valeur R au carré pour un modèle de courbe de tendance linéaire. Consultez Termes du modèle de courbe de tendance. Exemple : Vous pouvez utiliser CORR pour visualiser la corrélation dans un nuage de points désagrégé. La manière de procéder est d'utiliser une expression de niveau de détail à l'échelle de la table. Par exemple :
Avec une expression de niveau de détail, la corrélation est exécutée sur toutes les lignes. Si vous avez utilisé une formule telle que Consultez À l'échelle de la table. |
COUNT |
| Renvoie le nombre d'éléments d'un groupe. Les valeurs null sont ignorées. |
COUNTD |
| Renvoie le nombre d'éléments distincts d'un groupe. Les valeurs null sont ignorées. Cette fonction n'est pas disponible dans les cas suivants : les classeurs créés dans une version antérieure à Tableau Desktop 8.2 et qui utilisent des sources de données Microsoft Excel ou de fichiers texte, les classeurs qui utilisent l'ancienne connexion et les classeurs qui utilisent des sources de données Microsoft Access. Vous devez extraire vos données dans un fichier d'extrait pour utiliser cette fonction. Consultez la section Extraire vos données. |
COVAR |
| Renvoie la covariance d'échantillon de deux expressions. La covariance quantifie dans quelle mesure les deux variables changent ensemble. Une covariance positive indique que les variables tendent à évoluer dans la même direction, comme lorsque des valeurs plus importantes d'une variable tendent à correspondre à des valeurs plus importantes de l'autre variable, en moyenne. La covariance d'échantillon utilise le nombre de points de données non null n - 1 pour normaliser le calcul de la covariance, plutôt que n, qui est utilisé par la covariance de population (disponible avec la fonction COVARP). La covariance d'échantillon est le choix approprié lorsque les données sont un échantillon aléatoire utilisé pour estimer la covariance pour une population plus importante. COVAR est disponible pour les sources de données suivantes :
Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d'extraire les données ou d'utiliser WINDOW_COVAR. Consultez Fonctions de calcul de table. Si expression1 et expression2 sont identiques—par exemple, COVAR([profit], [profit])—COVAR renvoie une valeur qui indique dans quelles proportions les valeurs sont distribuées. Remarque : La valeur de COVAR(X, X) est équivalente à la valeur de VAR(X) et également à la valeur de STDEV(X)^2. Exemple : La formule suivante renvoie la covariance d'échantillon de Sales et Profit.
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COVARP |
| Renvoie la covariance de population de deux expressions. La covariance quantifie dans quelle mesure les deux variables changent ensemble. Une covariance positive indique que les variables tendent à évoluer dans la même direction, comme lorsque des valeurs plus importantes d'une variable tendent à correspondre à des valeurs plus importantes de l'autre variable, en moyenne. La covariance de population est une covariance d'échantillon multipliée par (n-1)/n, où n est le nombre total de points de données non null. La covariance de population est le choix approprié dans les cas où des données sont disponibles pour tous les points d'intérêt par opposition aux cas où il n'existe qu'un sous-ensemble aléatoire d'éléments, dans quel cas la covariance d'échantillon (avec la fonction COVAR) est appropriée. COVARP est disponible pour les sources de données suivantes :
Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d'extraire les données ou d'utiliser WINDOW_COVARP. Consultez Fonctions de calcul de table. Si expression1 et expression2 sont identiques—par exemple, COVARP([profit], [profit])—COVARP renvoie une valeur qui indique dans quelles proportions les valeurs sont distribuées. Remarque : La valeur de COVARP(X, X) est équivalente à la valeur de VARP(X) et également à la valeur de STDEVP(X)^2. Exemple : La formule suivante renvoie la covariance de population de Sales et Profit.
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MAX |
| Renvoie la valeur maximum d'une expression dans tous les enregistrements. Si l'expression correspond à une valeur de chaîne, cette fonction renvoie la dernière valeur selon l'ordre alphabétique. |
MEDIAN |
| Renvoie la valeur médiane d'une expression dans tous les enregistrements. La valeur médiane peut être utilisée uniquement avec des champs numériques. Les valeurs nulles sont ignorées. Cette fonction n'est pas disponible pour les classeurs créés avant Tableau Desktop 8.2 ou utilisant d'anciennes connexions. Elle n'est pas non plus disponible pour les connexions utilisant l'une des sources de données suivantes :
Pour d'autres types de sources de données, vous pouvez extraire vos données dans un fichier d'extrait pour utiliser cette fonction. Consultez la section Extraire vos données. |
MIN |
| Renvoie la valeur minimum d'une expression dans tous les enregistrements. Si l'expression correspond à une valeur de chaîne, cette fonction renvoie la première valeur selon l'ordre alphabétique. |
PERCENTILE |
| Renvoie la valeur du centile pour l'expression donnée correspondant au nombre indiqué. La valeur doit être comprise entre 0 et 1 (inclus), par exemple 0,66, et doit être une constante numérique. Cette fonction est disponible pour les sources de données suivantes.
Pour d'autres types de sources de données, vous pouvez extraire vos données dans un fichier d'extrait pour utiliser cette fonction. Consultez la section Extraire vos données. |
STDEV |
| Renvoie l'écart-type statistique de toutes les valeurs dans l'expression donnée en fonction d'un échantillon de population. |
STDEVP |
| Renvoie l'écart-type statistique de toutes les valeurs dans l'expression donnée en fonction d'une population biaisée. |
SUM |
| Renvoie la somme de toutes les valeurs de l'expression. La fonction SUM peut être utilisée avec des champs numériques uniquement. Les valeurs nulles sont ignorées. |
VAR |
| Renvoie la variance statistique de toutes les valeurs dans l'expression donnée en fonction d'un échantillon de population. |
VARP |
| Renvoie la variance statistique de toutes les valeurs dans l'expression donnée de la totalité de la population. |
Fonction | Syntaxe | Description |
FULLNAME |
| Renvoie le nom complet de l'utilisateur actuel. Il s'agit du nom complet Tableau Server ou Tableau Cloud lorsque l'utilisateur est connecté ; sinon, il s'agit du nom complet local ou réseau de l'utilisateur de Tableau Desktop. Exemple :
Si le responsable Dave Hallsten est connecté, cet exemple ne renvoie la valeur True qu'en présence de la valeur Dave Hallsten dans le champ Manager de la vue. Lorsqu'il est utilisé comme un filtre, ce champ calculé peut être utilisé pour créer un filtre utilisateur qui n'affiche que les données correspondant à la personne connectée au serveur. |
ISFULLNAME |
| Renvoie la valeur True si le nom complet de l'utilisateur actuel correspond au nom complet spécifié ; la valeur False est renvoyée si ce n'est pas le cas. Cette fonction utilise le nom complet Tableau Server ou Tableau Cloud lorsque l'utilisateur est connecté. Sinon, elle utilise le nom complet local ou réseau de l'utilisateur de Tableau Desktop. Exemple :
Cet exemple renvoie la valeur True si Dave Hallsten est l'utilisateur actuel ; la valeur False est renvoyée dans les autres cas. |
ISMEMBEROF |
| Renvoie la valeur True si la personne utilisant Tableau est membre d'un groupe correspondant à la chaîne donnée. Si la personne utilisant Tableau est connectée, l'appartenance aux groupes est déterminée par les groupes présents sur Tableau Server ou Tableau Cloud. Si elle n'est pas connectée, cette fonction renvoie la valeur NULL. Remarque : la fonction renvoie une valeur « True » si la chaîne donnée est « Tous les utilisateurs », qu'ils soient connectés à Tableau Server ou à Tableau Cloud. La fonction ISMEMBEROF() accepte également les domaines Active Directory. Le domaine Active Directory doit être déclaré dans le calcul avec le nom du groupe. Exemple :
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ISUSERNAME |
| Renvoie la valeur True si le nom d'utilisateur de l'utilisateur actuel correspond au nom d'utilisateur spécifié ; la valeur False est renvoyée si ce n'est pas le cas. Cette fonction utilise le nom d'utilisateur Tableau Server ou Tableau Cloud lorsque l'utilisateur est connecté ; sinon, elle utilise le nom d'utilisateur local ou réseau de l'utilisateur de Tableau Desktop. Exemple :
Cet exemple renvoie la valeur True si dhallsten est l'utilisateur actuel ; la valeur False est renvoyée dans les autres cas. Remarque : « Tous les utilisateurs » est toujours renvoyé comme vrai. |
USERDOMAIN |
| Renvoie le domaine de l'utilisateur actuel lorsque celui-ci est connecté à Tableau Server. Renvoie le domaine Windows si l'utilisateur de Tableau Desktop se trouve sur un domaine. Dans le cas contraire, cette fonction renvoie une chaîne nulle. Exemple :
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USERNAME |
| Renvoie le nom d'utilisateur de l'utilisateur actuel. Il s'agit du nom d'utilisateur Tableau Server ou Tableau Cloud lorsque l'utilisateur est connecté. Sinon, il s'agit du nom d'utilisateur local ou réseau de l'utilisateur de Tableau Desktop. Exemple :
Si le responsable dhallsten était connecté, cette fonction renverrait la valeur True en présence de la valeur dhallsten dans le champ Manager de la vue. Lorsqu'il est utilisé comme filtre, ce champ calculé peut être utilisé pour créer un filtre utilisateur qui n'affiche que les données correspondant à la personne connectée au serveur. |
FIRST( )
Renvoie le nombre de lignes entre la ligne actuelle et la première ligne de la partition. Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Lorsque la fonction FIRST() est calculée dans la partition des dates, le décalage de la première ligne par rapport à la seconde ligne est de -1.
Exemple
Lorsque l'index de la ligne actuelle est de 3, FIRST()
= -2
.
INDEX( )
Renvoie l'index de la ligne actuelle dans la partition, sans tri concernant la valeur. L'index de la première ligne commence à 1. Par exemple, la table ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Lorsque la fonction INDEX() est calculée dans la partition des dates, l'index de chaque ligne est 1, 2, 3, 4, etc.
Exemple
Pour la troisième ligne de la partition, INDEX() = 3
.
LAST( )
Renvoie le nombre de lignes entre la ligne actuelle et la dernière ligne de la partition. Par exemple, la table ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Lorsque la fonction LAST() est calculée dans la partition des dates, le décalage de la dernière ligne par rapport à la seconde ligne est de 5.
Exemple
Lorsque l'index de la ligne actuelle est de 3 sur 7, LAST() = 4
.
LOOKUP(expression, [offset])
Renvoie la valeur de l'expression dans une ligne cible, indiquée sous la forme d'un décalage relatif par rapport à la ligne actuelle. Utilisez FIRST() + n et LAST() - n dans votre définition de décalage pour une cible relative aux première/dernière lignes de la partition. Si la valeur offset
est ignorée, la ligne à comparer peut être définie dans le menu du champ. Cette fonction renvoie NULL si la ligne cible ne peut pas être déterminée.
La vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Lorsque la fonction LOOKUP (SUM(Sales), 2)
est calculée dans la partition des dates, chaque ligne affiche la valeur des ventes à partir de 2 trimestres dans le futur.
Exemple
LOOKUP(SUM([Profit]),
FIRST()+2)
calcule la valeur SUM([Profit]) dans la troisième ligne de la partition.
MODEL_EXTENSION_BOOL (nom_modèle, arguments, expression)
Renvoie le résultat booléen d'une expression tel que calculé par un modèle nommé déployé sur un service externe TabPy.
Nom_modèle est le nom du modèle d'analyse déployé que vous souhaitez utiliser.
Chaque argument est une chaîne unique qui définit les valeurs d'entrée acceptées par le modèle déployé et est défini par le modèle d'analyse.
Utilisez des expressions pour définir les valeurs qui sont envoyées depuis Tableau au modèle d'analyse. Assurez-vous d'utiliser les fonctions d'agrégation (SUM, AVG, etc.) pour agréger les résultats.
Lors de l'utilisation de la fonction, les types de données et l'ordre des expressions doivent correspondre à ceux des arguments d'entrée.
Exemple
MODEL_EXTENSION_BOOL ("isProfitable","inputSales", "inputCosts", SUM([Sales]), SUM([Costs]))
MODEL_EXTENSION_INT (nom_modèle, arguments, expression)
Renvoie un résultat d’entier d'une expression tel que calculé par un modèle nommé déployé sur un service externe TabPy.
Nom_modèle est le nom du modèle d'analyse déployé que vous souhaitez utiliser.
Chaque argument est une chaîne unique qui définit les valeurs d'entrée acceptées par le modèle déployé et est défini par le modèle d'analyse.
Utilisez des expressions pour définir les valeurs qui sont envoyées depuis Tableau au modèle d'analyse. Assurez-vous d'utiliser les fonctions d'agrégation (SUM, AVG, etc.) pour agréger les résultats.
Lors de l'utilisation de la fonction, les types de données et l'ordre des expressions doivent correspondre à ceux des arguments d'entrée.
Exemple
MODEL_EXTENSION_INT ("getPopulation", "inputCity", "inputState", MAX([City]), MAX ([State]))
MODEL_EXTENSION_REAL (nom_modèle, arguments, expression)
Renvoie un résultat réel d'une expression tel que calculé par un modèle nommé déployé sur un service externe TabPy.
Nom_modèle est le nom du modèle d'analyse déployé que vous souhaitez utiliser.
Chaque argument est une chaîne unique qui définit les valeurs d'entrée acceptées par le modèle déployé et est défini par le modèle d'analyse.
Utilisez des expressions pour définir les valeurs qui sont envoyées depuis Tableau au modèle d'analyse. Assurez-vous d'utiliser les fonctions d'agrégation (SUM, AVG, etc.) pour agréger les résultats.
Lors de l'utilisation de la fonction, les types de données et l'ordre des expressions doivent correspondre à ceux des arguments d'entrée.
Exemple
MODEL_EXTENSION_REAL ("profitRatio", "inputSales", "inputCosts", SUM([Sales]), SUM([Costs]))
MODEL_EXTENSION_STRING (nom_modèle, arguments, expression)
Renvoie le résultat de chaîne d'une expression telle que calculée par un modèle nommé déployé sur un service externe TabPy.
Nom_modèle est le nom du modèle d'analyse déployé que vous souhaitez utiliser.
Chaque argument est une chaîne unique qui définit les valeurs d'entrée acceptées par le modèle déployé et est défini par le modèle d'analyse.
Utilisez des expressions pour définir les valeurs qui sont envoyées depuis Tableau au modèle d'analyse. Assurez-vous d'utiliser les fonctions d'agrégation (SUM, AVG, etc.) pour agréger les résultats.
Lors de l'utilisation de la fonction, les types de données et l'ordre des expressions doivent correspondre à ceux des arguments d'entrée.
Exemple
MODEL_EXTENSION_STR ("mostPopulatedCity", "inputCountry", "inputYear", MAX ([Country]), MAX([Year]))
MODEL_PERCENTILE(target_expression, predictor_expression(s))
Renvoie la probabilité (comprise entre 0 et 1) que la valeur attendue soit inférieure ou égale au repère observé, définie par l’expression cible et d’autres expressions de prédiction. Il s’agit de la fonction de distribution prédictive postérieure, également appelée fonction de distribution cumulative (CDF).
Cette fonction est l’inverse de MODEL_QUANTILE. Pour plus d’informations sur les fonctions de modélisation prédictive, voir Description des fonctions de modélisation prédictive dans Tableau.
Exemple
La formule suivante renvoie le quantile du repère pour la somme des ventes, ajustée en fonction du nombre de commandes.
MODEL_PERCENTILE(SUM([Sales]), COUNT([Orders]))
MODEL_QUANTILE(quantile, target_expression, predictor_expression(s))
Renvoie une valeur numérique cible dans la plage probable définie par l'expression cible et d'autres expressions de prédiction, au quantile spécifié. Il s’agit du quantile prédictif postérieur.
Cette fonction est l’inverse de MODEL_PERCENTILE. Pour plus d’informations sur les fonctions de modélisation prédictive, voir Description des fonctions de modélisation prédictive dans Tableau.
Exemple
La formule suivante renvoie la somme médiane (0.5) des ventes prévues, ajustée en fonction du nombre des commandes.
MODEL_QUANTILE(0.5, SUM([Sales]), COUNT([Orders]))
PREVIOUS_VALUE(expression)
Renvoie la valeur de ce calcul dans la ligne précédente. Renvoie l'expression donnée si la ligne actuelle correspond à la première ligne de la partition.
Exemple
SUM([Profit]) * PREVIOUS_VALUE(1)
calcule le produit cumulé de SUM(Profit).
RANK(expression, ['asc' | 'desc'])
Renvoie le rang concurrentiel standard de la ligne actuelle de la partition. Un classement identique est attribué à des valeurs identiques. Utilisez l'argument facultatif 'asc' | 'desc'
pour utiliser l'ordre croissant ou décroissant. L'ordre décroissant est utilisé par défaut.
Avec cette fonction, l'ensemble de valeurs (6, 9, 9, 14) devrait être classée (4, 2, 2, 1).
Les valeurs nulles sont ignorées dans les fonctions de classement. Elles ne sont pas numérotées et ne sont pas prises en compte dans le nombre total d'enregistrements des calculs de rang centile.
Pour plus d'informations sur les différentes options de classement, consultez Calcul de classement.
Exemple
L'image suivante montre l'effet des différentes fonctions de classement (RANK, RANK_DENSE, RANK_MODIFIED, RANK_PERCENTILE et RANK_UNIQUE) sur un ensemble de valeurs. L'ensemble de données contient des informations sur 14 étudiants (de ÉtudiantA à ÉtudiantN). La colonne Âge affiche l'âge actuel de chaque étudiant (tous les étudiants ont entre 17 et 20 ans). Les colonnes restantes montrent l'effet de chaque fonction de classement sur l'ensemble des valeurs d'âge, en prenant toujours pour hypothèse l'ordre par défaut (croissant ou décroissant) pour la fonction.
RANK_DENSE(expression, ['asc' | 'desc'])
Renvoie le rang dense de la ligne actuelle de la partition. Un classement identique est attribué aux valeurs identiques. La séquence de chiffres demeure toutefois linéaire. Utilisez l'argument facultatif 'asc' | 'desc'
pour utiliser l'ordre croissant ou décroissant. L'ordre décroissant est utilisé par défaut.
Avec cette fonction, l'ensemble de valeurs (6, 9, 9, 14) devrait être classée (3, 2, 2, 1).
Les valeurs nulles sont ignorées dans les fonctions de classement. Elles ne sont pas numérotées et ne sont pas prises en compte dans le nombre total d'enregistrements des calculs de rang centile.
Pour plus d'informations sur les différentes options de classement, consultez Calcul de classement.
RANK_MODIFIED(expression, ['asc' | 'desc'])
Renvoie le rang concurrentiel modifié de la ligne actuelle de la partition. Un classement identique est attribué à des valeurs identiques. Utilisez l'argument facultatif 'asc' | 'desc'
pour utiliser l'ordre croissant ou décroissant. L'ordre décroissant est utilisé par défaut.
Avec cette fonction, l'ensemble de valeurs (6, 9, 9, 14) serait organisé de la façon suivante (4, 3, 3, 1).
Les valeurs nulles sont ignorées dans les fonctions de classement. Elles ne sont pas numérotées et ne sont pas prises en compte dans le nombre total d'enregistrements des calculs de rang centile.
Pour plus d'informations sur les différentes options de classement, consultez Calcul de classement.
RANK_PERCENTILE(expression, ['asc' | 'desc'])
Renvoie le rang centile de la ligne actuelle de la partition. Utilisez l'argument facultatif 'asc' | 'desc'
pour utiliser l'ordre croissant ou décroissant. L'ordre croissant est défini par défaut.
Avec cette fonction, l'ensemble de valeurs (6, 9, 9, 14) serait organisé de la façon suivante (0.00, 0.67, 0.67, 1.00).
Les valeurs nulles sont ignorées dans les fonctions de classement. Elles ne sont pas numérotées et ne sont pas prises en compte dans le nombre total d'enregistrements des calculs de rang centile.
Pour plus d'informations sur les différentes options de classement, consultez Calcul de classement.
RANK_UNIQUE(expression, ['asc' | 'desc'])
Renvoie le rang unique de la ligne actuelle de la partition. Des classements différents sont attribués aux valeurs identiques. Utilisez l'argument facultatif 'asc' | 'desc'
pour utiliser l'ordre croissant ou décroissant. L'ordre décroissant est utilisé par défaut.
Avec cette fonction, l'ensemble de valeurs (6, 9, 9, 14) serait organisé de la façon suivante (4, 2, 3, 1).
Les valeurs nulles sont ignorées dans les fonctions de classement. Elles ne sont pas numérotées et ne sont pas prises en compte dans le nombre total d'enregistrements des calculs de rang centile.
Pour plus d'informations sur les différentes options de classement, consultez Calcul de classement.
RUNNING_AVG(expression)
Renvoie la moyenne cumulée d'une expression donnée, de la première ligne de la partition à la ligne actuelle.
La vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Lorsque la fonction RUNNING_AVG(SUM([Sales])
est calculée dans la partition des dates, le résultat obtenu correspond à une moyenne cumulée des valeurs de ventes pour chaque trimestre.
Exemple
RUNNING_AVG(SUM([Profit]))
calcule la moyenne cumulée de SUM(Profit).
RUNNING_COUNT(expression)
Renvoie le cumul d'une expression donnée, de la première ligne de la partition à la ligne actuelle.
Exemple
RUNNING_COUNT(SUM([Profit]))
calcule le compte cumulée de SUM(Profit).
RUNNING_MAX(expression)
Renvoie le maximum cumulé d'une expression donnée, de la première ligne de la partition à la ligne actuelle.
Exemple
RUNNING_MAX(SUM([Profit]))
calcule le cumul de SUM(Profit).
RUNNING_MIN(expression)
Renvoie le minimum cumulé d'une expression donnée, de la première ligne de la partition à la ligne actuelle.
Exemple
RUNNING_MIN(SUM([Profit]))
calcule le minimum cumulé de SUM(Profit).
RUNNING_SUM(expression)
Renvoie l'addition cumulée d'une expression donnée, de la première ligne de la partition à la ligne actuelle.
Exemple
RUNNING_SUM(SUM([Profit]))
calcule la somme cumulée de SUM(Profit)
SIZE()
Renvoie le nombre de lignes contenues dans la partition. Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. La partition des dates contient sept lignes ; la fonction Size() de la partition des dates est donc égale à 7.
Exemple
SIZE() = 5
lorsque la partition actuelle contient cinq lignes.
SCRIPT_BOOL
Renvoie un résultat booléen à partir de l'expression spécifiée. L'expression est transmise directement à une instance d'extension analytique en cours d'exécution.
Dans les expressions R, utilisez .argn (avec point initial) pour référencer les paramètres (.arg1, .arg2, etc.).
Dans les expressions Python, utilisez _argn (avec trait bas initial).
Exemples
Dans cet exemple R, .arg1 est égal à SUM([Profit]):
SCRIPT_BOOL("is.finite(.arg1)", SUM([Profit]))
L'exemple suivant renvoie True pour les ID de magasin de l'État de Washington, et False dans les autres cas. Cet exemple pourrait être la définition d'un champ calculé nommé IsStoreInWA.
SCRIPT_BOOL('grepl(".*_WA", .arg1, perl=TRUE)',ATTR([Store ID]))
Une commande pour Python prendrait la forme suivante :
SCRIPT_BOOL("return map(lambda x : x > 0, _arg1)", SUM([Profit]))
SCRIPT_INT
Renvoie un résultat entier à partir de l'expression spécifiée. L'expression est transmise directement à une instance d'extension analytique en cours d'exécution.
Dans les expressions R, utilisez .argn (avec point initial) pour référencer les paramètres (.arg1, .arg2, etc.).
Dans les expressions Python, utilisez _argn (avec trait bas initial).
Exemples
Dans cet exemple R, .arg1 est égal à SUM([Profit]):
SCRIPT_INT("is.finite(.arg1)", SUM([Profit]))
Dans l'exemple suivant, la méthode du clustering par les k-means est utilisée pour créer trois groupes :
SCRIPT_INT('result <- kmeans(data.frame(.arg1,.arg2,.arg3,.arg4), 3);result$cluster;', SUM([Petal length]), SUM([Petal width]),SUM([Sepal length]),SUM([Sepal width]))
Une commande pour Python prendrait la forme suivante :
SCRIPT_INT("return map(lambda x : int(x * 5), _arg1)", SUM([Profit]))
SCRIPT_REAL
Renvoie un résultat réel partir de l'expression spécifiée. L'expression est transmise directement à une instance d'extension analytique en cours d'exécution. Dans
Dans les expressions R, utilisez .argn (avec point initial) pour référencer les paramètres (.arg1, .arg2, etc.).
Dans les expressions Python, utilisez _argn (avec trait bas initial).
Exemples
Dans cet exemple R, .arg1 est égal à SUM([Profit]):
SCRIPT_REAL("is.finite(.arg1)", SUM([Profit]))
L'exemple suivant convertit des valeurs de température exprimées en degrés Celsius en degrés Fahrenheit.
SCRIPT_REAL('library(udunits2);ud.convert(.arg1, "celsius", "degree_fahrenheit")',AVG([Temperature]))
Une commande pour Python prendrait la forme suivante :
SCRIPT_REAL("return map(lambda x : x * 0.5, _arg1)", SUM([Profit]))
SCRIPT_STR
Renvoie un résultat de type chaîne à partir de l'expression spécifiée. L'expression est transmise directement à une instance d'extension analytique en cours d'exécution.
Dans les expressions R, utilisez .argn (avec point initial) pour référencer les paramètres (.arg1, .arg2, etc.).
Dans les expressions Python, utilisez _argn (avec trait bas initial).
Exemples
Dans cet exemple R, .arg1 est égal à SUM([Profit]):
SCRIPT_STR("is.finite(.arg1)", SUM([Profit]))
L'exemple suivant extrait une abréviation d'état à partir d'une chaîne plus complexe (sous la forme 13XSL_CA, A13_WA) :
SCRIPT_STR('gsub(".*_", "", .arg1)',ATTR([Store ID]))
Une commande pour Python prendrait la forme suivante :
SCRIPT_STR("return map(lambda x : x[:2], _arg1)", ATTR([Region]))
TOTAL(expression)
Renvoie le total de l'expression donnée dans la partition de calcul de table.
Exemple
Supposons que vous démarriez avec cette vue :
Vous ouvrez l'éditeur de calculs et créez un nouveau champ que vous nommez Totality :
Vous déposez ensuite Totality sur Texte, pour remplacer SUM(Sales). Votre vue change de sorte à totaliser les valeurs basées sur la valeur Calculer avec par défaut :
Ceci soulève la question : quelle est la valeur par défaut de Calculer avec ? Si vous faites un clic droit (Contrôle + clic sur un Mac) sur Totality dans le volet Données et que vous choisissez Modifier, quelques informations supplémentaires sont disponibles :
La valeur par défaut pour Calculer avec est Table (horizontale). Le résultat est que Totality totalise les valeurs pour chaque ligne de votre table. Ainsi, la valeur que vous voyez pour chaque ligne est la somme de toutes les valeurs provenant de la version d'origine de la table.
Les valeurs dans la ligne 2011/Q1 dans la table d'origine étaient $8601, $6579, $44262 et $15006. Les valeurs dans la table après que Totality a remplacé SUM(Sales) sont toutes $74,448, ce qui correspond à la somme des quatre valeurs d'origine.
Notez le triangle en regard de Totality après que vous le déposez sur Texte :
Il indique que le champ utilise un calcul de table. Vous pouvez faire un clic droit sur le champ et choisir Modifier le calcul de table pour rediriger votre fonction vers une valeur Calculer avec différente. Par exemple, vous pouvez la définir sur Table (horizontale). Dans ce cas, votre table se présenterait ainsi :
WINDOW_AVG(expression, [start, end])
Renvoie la moyenne de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Une moyenne de la fenêtre dans la partition des dates renvoie les ventes moyennes pour toutes les dates.
Exemple
WINDOW_AVG(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule la moyenne de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_CORR(expression1, expression2, [start, end])
Renvoie le coefficient de corrélation Pearson de deux expressions dans la fenêtre. La fenêtre est définie comme valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
La corrélation Pearson mesure la relation linéaire entre les deux variables. Les résultats vont de -1 à +1 inclus, où 1 dénote une relation linéaire positive exacte, comme lorsqu'un changement positif dans une variable implique un changement positif de magnitude correspondante dans l'autre, 0 ne dénote aucune relation linéaire entre la variance, et -1 est une relation négative exacte.
Il existe une fonction d'agrégation équivalente : CORR. Consultez Fonctions de Tableau (par ordre alphabétique)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
Exemple
La formule suivante renvoie la corrélation Pearson de SUM(Profit) et SUM(Sales) depuis les cinq lignes précédentes jusqu'à la ligne actuelle.
WINDOW_CORR(SUM[Profit]), SUM([Sales]), -5, 0)
WINDOW_COUNT(expression, [start, end])
Renvoie le total de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_COUNT(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule le cumul de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle
WINDOW_COVAR(expression1, expression2, [start, end])
Renvoie la covariance d'échantillon de deux expressions dans la fenêtre. La fenêtre est définie comme valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si les arguments de début et la fin sont ignorés, la fenêtre est la totalité de la partition.
La covariance d'échantillon utilise le nombre de points de données non null n - 1 pour normaliser le calcul de la covariance, plutôt que n, qui est utilisé par la covariance de population (disponible avec la fonction WINDOW_COVARP). La covariance d'échantillon est le choix approprié lorsque les données sont un échantillon aléatoire utilisé pour estimer la covariance pour une population plus importante.
Il existe une fonction d'agrégation équivalente : COVAR. Consultez Fonctions de Tableau (par ordre alphabétique)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
Exemple
La formule suivante retourne la covariance d'échantillon de SUM(Profit) et SUM(Sales) des deux précédentes lignes jusqu'à la ligne actuelle.
WINDOW_COVAR(SUM([Profit]), SUM([Sales]), -2, 0)
WINDOW_COVARP(expression1, expression2, [start, end])
Renvoie la covariance de population de deux expressions dans la fenêtre. La fenêtre est définie comme valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
La covariance de population est une covariance d'échantillon multipliée par (n-1)/n, où n est le nombre total de points de données non null. La covariance de population est le choix approprié dans les cas où des données sont disponibles pour tous les points d'intérêt par opposition aux cas où il n'existe qu'un sous-ensemble aléatoire d'éléments, dans quel cas la covariance d'échantillon (avec la fonction WINDOW_COVAR) est appropriée.
Il existe une fonction d'agrégation équivalente : COVARP. Fonctions de Tableau (par ordre alphabétique)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
Exemple
La formule suivante retourne la covariance de population de SUM(Profit) et SUM(Sales) des deux précédentes lignes jusqu'à la ligne actuelle.
WINDOW_COVARP(SUM([Profit]), SUM([Sales]), -2, 0)
WINDOW_MEDIAN(expression, [start, end])
Renvoie le médian de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Par exemple, la vue ci-dessous représente les profits trimestriels. Un médian de la fenêtre dans la partition des dates renvoie les profits médians pour toutes les dates.
Exemple
WINDOW_MEDIAN(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule la médiane de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_MAX(expression, [start, end])
Renvoie le maximum de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Un maximum de la fenêtre dans la partition des dates renvoie les ventes maximum pour toutes les dates.
Exemple
WINDOW_MAX(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule le maximum de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_MIN(expression, [start, end])
Renvoie le minimum de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Un minimum de la fenêtre dans la partition des dates renvoie les ventes minimum pour toutes les dates.
Exemple
WINDOW_MIN(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule le minimum de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_PERCENTILE(expression, number, [start, end])
Renvoie la valeur correspondant au centile spécifié dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_PERCENTILE(SUM([Profit]), 0.75, -2, 0)
renvoie le 75e centile pour SUM(Profit), en partant des deux lignes précédant la ligne actuelle jusqu'à cette dernière.
WINDOW_STDEV(expression, [start, end])
Renvoie l'échantillon d'écart-type de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_STDEV(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule l'écart-type SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_STDEVP(expression, [start, end])
Renvoie l'écart-type biaisé de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_STDEVP(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule l'écart-type SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_SUM(expression, [start, end])
Renvoie la somme de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Par exemple, la vue ci-dessous présente les ventes trimestrielles. Une somme de la fenêtre calculée dans la partition des dates renvoie la somme des ventes pour tous les trimestres.
Exemple
WINDOW_SUM(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule la somme de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_VAR(expression, [start, end])
Renvoie l'échantillon de variance de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_VAR((SUM([Profit])), FIRST()+1, 0)
calcule la variance de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
WINDOW_VARP(expression, [start, end])
Renvoie la variance biaisée de l'expression dans la fenêtre. La fenêtre est définie par les valeurs de décalage de la ligne actuelle. Utilisez FIRST()+n et LAST()-n pour les décalages à partir de la première ou la dernière ligne de la partition. Si le début et la fin sont ignorés, la totalité de la partition est utilisée.
Exemple
WINDOW_VARP(SUM([Profit]), FIRST()+1, 0)
calcule la variance de SUM(Profit) de la deuxième ligne à la ligne actuelle.
Ces fonctions de passage direct RAWSQL peuvent être utilisées pour envoyer des expressions SQL directement vers la base de données sans qu'elles ne soient interprétées par Tableau. Si vous possédez des fonctions de base de données personnalisées dont Tableau ne connaît pas l'existence, vous pouvez utiliser ces fonctions de passage direct pour les exécuter.
Votre base de données ne comprend généralement pas les noms de champs affichés dans Tableau. Dans la mesure où Tableau n'interprète pas les expressions SQL que vous incluez dans les fonctions de passage direct, l'utilisation de noms de champs de Tableau dans votre expression peut entraîner des erreurs. Vous pouvez utiliser une syntaxe de substitution pour insérer l'expression ou le nom de champ correct d'un calcul Tableau dans la requête SQL de passage direct. Par exemple, imaginez que vous disposez d'une fonction calculant la valeur médiane d'un ensemble de valeurs, vous pouvez l'appeler à partir de la colonne [Sales] de Tableau, comme suit :
RAWSQLAGG_REAL(“MEDIAN(%1)”, [Sales])
Vous devez définir cette agrégation car Tableau n'interprète pas cette expression. Vous pouvez utiliser les fonctions RAWSQLAGG décrites plus bas lorsque vous utilisez des expressions agrégées.
Il se peut que les fonctions directes RAWSQL ne fonctionnent pas avec les extraits ou les sources de données publiées s'ils contiennent des relations.
Fonctions RAWSQL
Les fonctions RAWSQL suivantes sont disponibles dans Tableau.
RAWSQL_BOOL(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat booléen à partir d'une expression SQL donnée. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données.
Exemple
Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales] et %2 est égal à [Profit].
RAWSQL_BOOL(“IIF( %1 > %2, True, False)”, [Sales], [Profit])
RAWSQL_DATE(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat de type Date à partir d'une expression SQL donnée. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données.
Exemple
Dans cet exemple, %1 est égal à [Date Commande].
RAWSQL_DATE(“%1”, [Order
Date])
RAWSQL_DATETIME(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat de type Date et Heure à partir d'une expression SQL donnée. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Delivery Date].
Exemple
RAWSQL_DATETIME(“MIN(%1)”, [Delivery Date])
RAWSQL_INT(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat entier à partir d'une expression SQL donnée. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales].
Exemple
RAWSQL_INT(“500
+ %1”, [Sales])
RAWSQL_REAL(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat numérique à partir d'une expression SQL envoyée directement vers la base de données originale. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales].
Exemple
RAWSQL_REAL(“-123.98 * %1”, [Sales])
RAWSQL_SPATIAL
Renvoie des données spatiales à partir d'une expression SQL envoyée directement vers la base de données originale. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données.
Exemple
Dans cet exemple, %1 est égal à [Geometry].
RAWSQL_SPATIAL("%1", [Geometry])
RAWSQL_STR(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie une chaîne à partir d'une expression SQL envoyée directement vers la base de données originale. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Customer Name].
Exemple
RAWSQL_STR(“%1”, [Customer Name])
RAWSQLAGG_BOOL(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat booléen à partir d'une expression SQL d'agrégation. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données.
Exemple
Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales] et %2 est égal à [Profit].
RAWSQLAGG_BOOL(“SUM( %1) >SUM( %2)”, [Sales], [Profit])
RAWSQLAGG_DATE(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat de date à partir d'une expression SQL d'agrégation. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Date Commande].
Exemple
RAWSQLAGG_DATE(“MAX(%1)”,
[Order Date])
RAWSQLAGG_DATETIME(“sql_expr”, [arg1], …[argN])
Renvoie un résultat de date/heure à partir d'une expression SQL d'agrégation donnée. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Delivery Date].
Exemple
RAWSQLAGG_DATETIME(“MIN(%1)”, [Delivery Date])
RAWSQLAGG_INT(“sql_expr”, [arg1,] …[argN])
Renvoie un résultat de nombre entier à partir d'une expression SQL d'agrégation. L'expression SQL est envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales].
Exemple
RAWSQLAGG_INT(“500
+ SUM(%1)”, [Sales])
RAWSQLAGG_REAL(“sql_expr”, [arg1,] …[argN])
Renvoie un résultat numérique à partir d'une expression SQL d'agrégation donnée envoyée directement vers la base de données sous-jacente. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Sales].
Exemple
RAWSQLAGG_REAL(“SUM( %1)”, [Sales])
RAWSQLAGG_STR(“sql_expr”, [arg1,] …[argN])
Renvoie une chaîne à partir d'une expression SQL d'agrégation envoyée directement vers la base de données originale. Utilisez %n dans l'expression SQL comme syntaxe de substitution pour les valeurs de la base de données. Dans cet exemple, %1 est égal à [Discount].
Exemple
RAWSQLAGG_STR(“AVG(%1)”,
[Discount])
Les fonctions spatiales vous permettent d'effectuer une analyse spatiale avancée et de combiner des fichiers de données spatiales avec des données dans d'autres formats comme des fichiers texte ou des feuilles de calcul.
Fonction | Syntaxe | Description |
AREA | AREA(Spatial Polygon, "units") | Renvoie la surface totale d'un polygone spatial. Noms des unités prises en charge : mètres (« mètres », « m »), kilomètres (« kilomètres », « km »), miles (« miles »), pieds (« pieds », « ft »). |
BUFFER | BUFFER(Spatial Point, distance, "units") | Renvoie une forme de polygone dont le rayon est déterminé par la distance et les valeurs unitaires définies dans le calcul. Remarque : Le calcul BUFFER ne fonctionnera qu'avec un objet spatial ponctuel. Le calcul BUFFER prend en charge les mêmes noms d'unités que la fonction DISTANCE. |
DISTANCE | DISTANCE(<Spatial Point1>,<Spatial Point2>,"<units>") | Renvoie la mesure de distance entre deux points dans une unité spécifiée. Noms des unités prises en charge : mètres (« mètres », « m »), kilomètres (« kilomètres », « km »), miles (« miles »), pieds (« pieds », « ft »). Cette fonction ne peut être créée qu'avec une connexion en direct et continuera à fonctionner lorsqu'une source de données est convertie en un extrait. Exemple :
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INTERSECTIONS | INTERSECTE (<geometry1> ,<geometry2> ) | Renvoie un booléen (vrai/faux) indiquant si deux géométries se chevauchent dans l'espace. Combinaisons prises en charge : point/polygone, ligne/polygone et polygone/polygone. |
MAKELINE | MAKELINE(<Spatial Point1>,<Spatial Point2>) | Génère un repère linéaire entre deux points ; utile pour créer des cartes origine-destination. Exemples :
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MAKEPOINT | MAKEPOINT(<latitude>, <longitude>) | Convertit les données des colonnes de latitude et de longitude en objets spatiaux. Vous pouvez utiliser MAKEPOINT pour activer spatialement une source de données afin qu'elle puisse être liée à un fichier de données spatiales en utilisant une jointure spatiale. Pour plus d'informations, consultez Lier des fichiers de données spatiales dans Tableau. Pour utiliser MAKEPOINT, vos données doivent contenir des coordonnées de latitude et de longitude. Exemple :
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MAKEPOINT(X,Y, SRID) |
| Convertit les données des coordonnées géographiques projetées en objets spatiaux. Le SRID est un identificateur de référence spatiale qui utilise les codes du système de référence ESPG pour spécifier les systèmes de coordonnées. Si SRID n'est pas spécifié, WGS84 est présupposé et les paramètres sont traités comme latitude/longitude en degrés. Cette fonction ne peut être créée qu'avec une connexion en direct et continuera à fonctionner lorsqu'une source de données est convertie en un extrait. Exemple :
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Expressions régulières
REGEXP_REPLACE(string, pattern, replacement)
Renvoie une copie de la chaîne donnée où le modèle d'expression régulière est remplacé par la chaîne de remplacement. Cette fonction est disponible pour les sources de données au format fichier texte, Hadoop Hive, Google BigQuery, PostgreSQL, Tableau Data Extract, Microsoft Excel, Salesforce, Vertica, Pivotal Greenplum, Teradata (version 14.1 et versions supérieures), Snowflake et Oracle.
Pour les extraits de données Tableau, le modèle et le remplacement doivent être des constantes.
Pour plus d'informations sur la syntaxe des expressions régulières, consultez la documentation de votre source de données. Dans les extraits Tableau, la syntaxe des expressions régulières est conforme aux standards de l'ICU (International Components for Unicode), un projet Open Source de bibliothèques C/C++ et Java pour la prise en charge d'Unicode et l'internationalisation/la globalisation des logiciels. Consultez la page Expressions régulières(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) dans le guide de l'utilisateur en ligne d'ICU.
Exemple
REGEXP_REPLACE('abc 123', '\s', '-') = 'abc-123'
REGEXP_MATCH(string, pattern)
Renvoie "true" si une sous-chaîne de la chaîne spécifiée correspond au modèle d'expression régulière. Cette fonction est disponible pour les sources de données au format fichier texte, Google BigQuery, PostgreSQL, Tableau Data Extract, Microsoft Excel, Salesforce, Vertica, Pivotal Greenplum, Teradata (version 14.1 et versions supérieures), Impala 2.3.0 (via les sources de données Cloudera Hadoop), Snowflake et Oracle.
Pour les extraits de données Tableau, le modèle doit être une constante.
Pour plus d'informations sur la syntaxe des expressions régulières, consultez la documentation de votre source de données. Dans les extraits Tableau, la syntaxe des expressions régulières est conforme aux standards de l'ICU (International Components for Unicode), un projet Open Source de bibliothèques C/C++ et Java pour la prise en charge d'Unicode et l'internationalisation/la globalisation des logiciels. Consultez la page Expressions régulières(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) dans le guide de l'utilisateur en ligne d'ICU.
Exemple
REGEXP_MATCH('-([1234].[The.Market])-','\[\s*(\w*\.)(\w*\s*\])')=true
REGEXP_EXTRACT(string, pattern)
Renvoie la partie de la chaîne qui correspond au modèle d'expression régulière. Cette fonction est disponible pour les sources de données au format fichier texte, Hadoop Hive, Google BigQuery, PostgreSQL, Tableau Data Extract, Microsoft Excel, Salesforce, Vertica, Pivotal Greenplum, Teradata (version 14.1 et versions supérieures), Snowflake et Oracle.
Pour les extraits de données Tableau, le modèle doit être une constante.
Pour plus d'informations sur la syntaxe des expressions régulières, consultez la documentation de votre source de données. Dans les extraits Tableau, la syntaxe des expressions régulières est conforme aux standards de l'ICU (International Components for Unicode), un projet Open Source de bibliothèques C/C++ et Java pour la prise en charge d'Unicode et l'internationalisation/la globalisation des logiciels. Consultez la page Expressions régulières(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) dans le guide de l'utilisateur en ligne d'ICU.
Exemple
REGEXP_EXTRACT('abc 123', '[a-z]+\s+(\d+)') = '123'
REGEXP_EXTRACT_NTH(string, pattern, index)
Renvoie la partie de la chaîne qui correspond au modèle d'expression régulière. La sous-chaîne est associée au nth groupe de capture, où n est l'index donné. Si l'index est 0, la chaîne complète est retournée. Cette fonction est disponible pour les sources de données au format fichier texte, PostgreSQL, Tableau Data Extract, Microsoft Excel, Salesforce, Vertica, Pivotal Greenplum, Teradata (version 14.1 et versions supérieures) et Oracle.
Pour les extraits de données Tableau, le modèle doit être une constante.
Pour plus d'informations sur la syntaxe des expressions régulières, consultez la documentation de votre source de données. Dans les extraits Tableau, la syntaxe des expressions régulières est conforme aux standards de l'ICU (International Components for Unicode), un projet Open Source de bibliothèques C/C++ et Java pour la prise en charge d'Unicode et l'internationalisation/la globalisation des logiciels. Consultez la page Expressions régulières(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) dans le guide de l'utilisateur en ligne d'ICU.
Exemple
REGEXP_EXTRACT_NTH('abc 123', '([a-z]+)\s+(\d+)', 2) = '123'
Fonctions spécifiques Hadoop Hive
Remarque : seules les fonctions PARSE_URL et PARSE_URL_QUERY sont disponibles pour les sources de données Cloudera Impala.
GET_JSON_OBJECT(JSON string, JSON path)
Renvoie l'objet JSON au sein de la chaîne JSON basée sur le chemin JSON.
PARSE_URL(string, url_part)
Renvoie un composant de la chaîne URL donnée où le composant est défini par url_part. Les valeurs url_part valides comprennent : 'HOST', 'PATH', 'QUERY', 'REF', 'PROTOCOL', 'AUTHORITY', 'FILE' et 'USERINFO'.
Exemple
PARSE_URL('http://www.tableau.com', 'HOST') = 'www.tableau.com'
PARSE_URL_QUERY(string, key)
Renvoie la valeur du paramètre de requête spécifiée dans la chaîne URL donnée. Le paramètre de requête est défini par la clé.
Exemple
PARSE_URL_QUERY('http://www.tableau.com?page=1cat=4', 'page') = '1'
XPATH_BOOLEAN(XML string, XPath expression string)
Renvoie vrai si l'expression XPath correspond à un nœud ou évalue sur vrai.
Exemple
XPATH_BOOLEAN('<values> <value id="0">1</value><value id="1">5</value>', 'values/value[@id="1"] = 5') = true
XPATH_DOUBLE(XML string, XPath expression string)
Renvoie la valeur à virgule flottante de l'expression XPath.
Exemple
XPATH_DOUBLE('<values><value>1.0</value><value>5.5</value> </values>', 'sum(value/*)') = 6.5
XPATH_FLOAT(XML string, XPath expression string)
Renvoie la valeur à virgule flottante de l'expression XPath.
Exemple
XPATH_FLOAT('<values><value>1.0</value><value>5.5</value> </values>','sum(value/*)') = 6.5
XPATH_INT(XML string, XPath expression string)
Renvoie la valeur numérique de l'expression XPath ou zéro si l'expression XPath ne peut pas évaluer vers un chiffre.
Exemple
XPATH_INT('<values><value>1</value><value>5</value> </values>','sum(value/*)') = 6
XPATH_LONG(XML string, XPath expression string)
Renvoie la valeur numérique de l'expression XPath ou zéro si l'expression XPath ne peut pas évaluer vers un chiffre.
Exemple
XPATH_LONG('<values><value>1</value><value>5</value> </values>','sum(value/*)') = 6
XPATH_SHORT(XML string, XPath expression string)
Renvoie la valeur numérique de l'expression XPath ou zéro si l'expression XPath ne peut pas évaluer vers un chiffre.
Exemple
XPATH_SHORT('<values><value>1</value><value>5</value> </values>','sum(value/*)') = 6
XPATH_STRING(XML string, XPath expression string)
Renvoie le texte du premier nœud correspond.
Exemple
XPATH_STRING('<sites ><url domain="org">http://www.w3.org</url> <url domain="com">http://www.tableau.com</url></sites>', 'sites/url[@domain="com"]') = 'http://www.tableau.com'
Fonctions spécifiques Google BigQuery
DOMAIN(string_url)
Avec une chaîne URL, renvoie le domaine en tant que chaîne.
Exemple
DOMAIN('http://www.google.com:80/index.html') = 'google.com'
GROUP_CONCAT(expression)
Lie les valeurs de chaque entrée dans une chaîne unique délimitée par des virgules. Cette fonction agit comme une SUM() pour les chaînes.
Exemple
GROUP_CONCAT(Région) = "Centre,Est,Ouest"
HOST(string_url)
Avec une chaîne URL, renvoie le nom d'hôte en tant que chaîne.
Exemple
HOST('http://www.google.com:80/index.html') = 'www.google.com:80'
LOG2(number)
Renvoie le logarithme base 2 d'un chiffre.
Exemple
LOG2(16) = '4.00'
LTRIM_THIS(string, string)
Renvoie la première chaîne avec toute occurrence de fin de la deuxième chaîne supprimée.
Exemple
LTRIM_THIS('[-Sales-]','[-') = 'Sales-]'
RTRIM_THIS(string, string)
Renvoie la première chaîne avec toute occurence de fin de la deuxième chaîne supprimée.
Exemple
RTRIM_THIS('[-Market-]','-]') = '[-Market'
TIMESTAMP_TO_USEC(expression)
Convertit un type de données TIMESTAMP en un horodatage UNIX en microsecondes.
Exemple
TIMESTAMP_TO_USEC(#2012-10-01 01:02:03#)=1349053323000000
USEC_TO_TIMESTAMP(expression)
Convertit un horodatage UNIX en microsecondes en un type de données TIMESTAMP.
Exemple
USEC_TO_TIMESTAMP(1349053323000000) = #2012-10-01 01:02:03#
TLD(string_url)
Avec une chaîne URL, renvoie le domaine de niveau supérieur et tout domaine de pays/région dans l'URL.
Exemple
TLD('http://www.google.com:80/index.html') = '.com'
TLD('http://www.google.co.uk:80/index.html') = '.co.uk'
Vous souhaitez en savoir plus sur les fonctions ?
Lisez les rubriques consacrées aux fonctions(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
Voir également
Fonctions de Tableau (par ordre alphabétique)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre)