Fonctions de Tableau (par ordre alphabétique)

Dans cette référence, les fonctions de Tableau sont organisées par ordre alphabétique. Cliquez sur une lettre pour accéder à cet emplacement dans la liste. Vous pouvez également utiliser Ctrl+F (Cmd-F sur un Mac) pour ouvrir un champ de recherche et rechercher une fonction spécifique.

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z


A

ABS

SyntaxeABS(number)
RésultatNombre (positif)
DéfinitionRenvoie la valeur absolue d’un <number> donné.
Exemple
ABS(-7) = 7
ABS([Budget Variance])

Le deuxième exemple renvoie la valeur absolue pour tous les nombres contenus dans le champ Budget Variance.

RemarquesVoir également SIGN.

ACOS

SyntaxeACOS(number)
RésultatNombre (angle en radians)
DéfinitionRenvoie l’arc cosinus (angle) d’un <number> donné.
Exemple
ACOS(-1) = 3.14159265358979
RemarquesLa fonction inverse, COS, prend l’angle en radians comme argument et renvoie le cosinus.

AND

Syntaxe<expr1> AND <expr2>
DéfinitionConjonction logique entre deux expressions. (Si les deux côtés sont vrais, le test logique renvoie la valeur « true ».)
RésultatBooléen
Exemple
IF [Season] = "Spring" AND "[Season] = "Fall" 
THEN "It's the apocalypse and footwear doesn't matter"
END

« Si les deux expressions (Season = Spring) et (Season = Fall) sont vraies simultanément, renvoyer It’s the apocalypse and footwear doesn’t matter. »

Remarques

Souvent utilisé avec IF et IIF. Voir également NOT et OR.

Si les deux expressions sont TRUE (c’est-à-dire ni FALSE ni NULL), le résultat est TRUE. Si l’une des expressions est NULL, le résultat est NULL. Dans tous les autres cas, le résultat obtenu est FALSE.

Si vous créez un calcul dans lequel le résultat d’une comparaison AND s’affiche dans une feuille de calcul, Tableau affiche les valeurs TRUE et FALSE. Si vous voulez modifier cela, utilisez la zone de mise en forme dans la boîte de dialogue Mettre en forme.

Remarque : l’opérateur AND utilise l’évaluation en circuit court. Cela signifie que si la première expression est évaluée comme étant FALSE, la seconde expression n’est pas du tout évaluée. Cela peut être utile si la seconde expression renvoie une erreur lorsque la première expression est FALSE, car dans ce cas-là, la seconde expression n’est jamais évaluée.

AREA

SyntaxeAREA(Spatial Polygon, 'units')
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la surface totale d’un <spatial polygon>.
Exemple
AREA([Geometry], 'feet')
Remarques

Noms d’unités pris en charge (doivent être entre guillemets dans le calcul, tels que 'miles') :

  • mètres : mètres, m
  • kilomètres : kilomètres, km
  • miles : miles, mi
  • pieds : pieds, pi

ASCII

SyntaxeASCII(string)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie le code ASCII du premier caractère d’une <string>.
Exemple
ASCII('A') = 65
RemarquesInverse de la fonction CHAR.

ASIN

SyntaxeASIN(number)
RésultatNombre (angle en radians)
DéfinitionRenvoie l’arc sinus (angle) d’un <number> donné.
Exemple
ASIN(1) = 1.5707963267949
RemarquesLa fonction inverse, SIN, prend l’angle en radians comme argument et renvoie le sinus.

ATAN

SyntaxeATAN(number)
RésultatNombre (angle en radians)
DéfinitionRenvoie l’arc tangente (angle) d’un <number> donné.
Exemple
ATAN(180) = 1.5652408283942
Remarques

La fonction inverse, TAN, prend l’angle en radians comme argument et renvoie la tangente.

Voir également ATAN2 et COT.

ATAN2

SyntaxeATAN2(y number, x number)
RésultatNombre (angle en radians)
DéfinitionRenvoie l’arc tangente (angle) entre deux nombres (<y number> et <x number>). Le résultat est exprimé en radians.
Exemple
ATAN2(2, 1) = 1.10714871779409
RemarquesVoir également ATAN, TAN et COT.

ATTR

SyntaxeATTR(expression)
DéfinitionRenvoie la valeur de l'<expression> si cette valeur est unique pour toutes les lignes. Dans le cas contraire, la valeur renvoyée est Null. Les valeurs null sont ignorées.

AVG

SyntaxeAVG(expression)
DéfinitionRenvoie la moyenne de toutes les valeurs de l'<expression>. Les valeurs null sont ignorées.
RemarquesAVG peut uniquement être utilisé avec des champs numériques.

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B

BUFFER

SyntaxeBUFFER(Spatial Point, distance, 'units')
RésultatGéométrie
DéfinitionRenvoie une forme de polygone centrée sur un <spatial point>, avec un rayon déterminé par les valeurs <distance> et <unit>.
Exemple
BUFFER([Spatial Point Geometry], 25, 'mi')
BUFFER(MAKEPOINT(47.59, -122.32), 3, 'km')
Remarques

Noms d’unités pris en charge (doivent être entre guillemets dans le calcul, tels que 'miles') :

  • mètres : mètres, m
  • kilomètres : kilomètres, km
  • miles : miles, mi
  • pieds : pieds, pi

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C

CASE

SyntaxeCASE <expression>
WHEN <value1> THEN <then1>
WHEN <value2> THEN <then2>
...
[ELSE <default>]
END
RésultatDépend du type de données des valeurs <then>.
Définition

Évalue l’expression et la compare aux options spécifiées (<value1>, <value2>, etc.). Lorsqu’une value correspondant à l’expression est rencontrée, CASE renvoie la valeur de return correspondante. En l’absence de correspondance, la valeur par défaut est renvoyée. S’il n’y pas de valeur par défaut et qu’aucune valeur ne correspond, une valeur null est renvoyée.

Exemple
CASE [Season] 
WHEN 'Summer' THEN 'Sandals'
WHEN 'Winter' THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers'
END

« Examiner le champ Season. Si la valeur est Summer, renvoyer Sandals. Si la valeur est Winter, renvoyer Boots. Si aucune des options du calcul ne correspond à ce qui est indiqué dans le champ Season, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Voir également IF et IIF.

Utilisé avec WHEN, THEN, ELSE et END.

Conseil : dans de nombreux cas, vous pouvez utiliser un groupe pour obtenir les mêmes résultats qu’une fonction CASE compliquée, ou utiliser CASE pour remplacer la fonctionnalité de regroupement native, comme dans l’exemple précédent. Vous voudrez peut-être tester quelle fonction est la plus performante pour votre scénario.

CEILING

SyntaxeCEILING(number)
RésultatEntier
DéfinitionArrondit un <number> au chiffre entier le plus proche d’une valeur supérieure ou égale.
Exemple
CEILING(2.1) = 3
RemarquesVoir également FLOOR et ROUND.
Limitations de la base de données

CEILING est disponible via les connecteurs suivants : Microsoft Excel, fichier texte, fichier de statistiques, sources de données publiées, Amazon EMR Hadoop Hive, Amazon Redshift, Cloudera Hadoop, DataStax Enterprise, Google Analytics, Google BigQuery, Hortonworks Hadoop Hive, MapR Hadoop Hive, Microsoft SQL Server, Salesforce, Spark SQL.

CHAR

SyntaxeCHAR(number)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie le caractère encodé à l’aide du nombre du code ASCII <number>.
Exemple
CHAR(65) = 'A'
RemarquesInverse de la fonction ASCII.

COLLECT

SyntaxeCOLLECT(spatial)
DéfinitionUn calcul agrégé combinant les valeurs dans le champ d’argument. Les valeurs null sont ignorées.
RemarquesCOLLECT peut uniquement être utilisé avec des champs de données spatiales.

CONTAINS

SyntaxeCONTAINS(string, substring)
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie la valeur « true » si la <string> donnée contient la <substring> indiquée.
Exemple
CONTAINS("Calculation", "alcu") = true
RemarquesVoir aussi la fonction logique(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) IN ainsi que RegEx pris en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

CORR

SyntaxeCORR(expression1, expression2)
RésultatNombre de -1 à 1
DéfinitionRenvoie le coefficient de corrélation Pearson de deux expressions.
Exemple
example
Remarques

La corrélation Pearson mesure la relation linéaire entre les deux variables. Les résultats vont de -1 à +1 inclus, où 1 dénote une relation linéaire positive exacte, 0 ne dénote aucune relation linéaire entre la variance, et -1 est une relation négative exacte.

Le carré d’un résultat CORR est équivalent à la valeur R au carré pour un modèle de courbe de tendance linéaire. Consultez Termes relatifs aux modèles de courbe de tendance(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

À utiliser avec les expressions LOD au niveau d’une table :

Vous pouvez utiliser CORR pour visualiser la corrélation dans une dispersion désagrégée à l’aide d’une expression du niveau de détail à l’échelle d’une table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre). Par exemple :

{CORR(Sales, Profit)}

Avec une expression de niveau de détail, la corrélation est exécutée sur toutes les lignes. Si vous avez utilisé une formule telle que CORR(Sales, Profit) (sans les parenthèses pour en faire une expression de niveau de détail), la vue devrait montrer la corrélation de chaque point individuel dans le nuage de points avec chaque autre point, qui n’est pas défini.

Limitations de la base de données

CORR est disponible avec les sources de données suivantes : extraits de données Tableau, Cloudera Hive, EXASolution, Firebird (version 3.0 et ultérieure), Google BigQuery, Hortonworks Hadoop Hive, IBM PDA (Netezza), Oracle, PostgreSQL, Presto, SybaseIQ, Teradata, Vertica.

Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d’extraire les données à l’aide de WINDOW_CORR. Consultez Fonctions de calcul de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

COS

SyntaxeCOS(number)

L’argument numérique est l’angle en radians.

RésultatNombre
DéfinitionRenvoie le cosinus d’un angle.
Exemple
COS(PI( ) /4) = 0.707106781186548
Remarques

La fonction inverse, ACOS, prend le cosinus comme argument et renvoie l’angle en radians.

Voir également PI.

COT

SyntaxeCOT(number)

L’argument numérique est l’angle en radians.

RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la cotangente d’un angle.
Exemple
COT(PI( ) /4) = 1
RemarquesVoir également ATAN, TAN et PI.

COUNT

SyntaxeCOUNT(expression)
DéfinitionRenvoie le nombre d’éléments. Les valeurs null sont ignorées.

COUNTD

SyntaxeCOUNTD(expression)
DéfinitionRenvoie le nombre d’éléments distincts d’un groupe. Les valeurs null sont ignorées.

COVAR

SyntaxeCOVAR(expression1, expression2)
DéfinitionRenvoie la covariance d’échantillon de deux expressions.
Remarques

La covariance quantifie dans quelle mesure les deux variables changent ensemble. Une covariance positive indique que les variables tendent à évoluer dans la même direction, comme lorsque des valeurs plus importantes d’une variable tendent à correspondre à des valeurs plus importantes de l’autre variable, en moyenne. La covariance d’échantillon utilise le nombre de points de données non null n - 1 pour normaliser le calcul de la covariance, plutôt que n, qui est utilisé par la covariance de population (disponible avec la fonction COVARP). La covariance d’échantillon est le choix approprié lorsque les données sont un échantillon aléatoire utilisé pour estimer la covariance pour une population plus importante.

Si <expression1> et <expression2> sont identiques, par exemple COVAR([profit], [profit]), COVAR renvoie une valeur qui indique dans quelles proportions les valeurs sont distribuées.

La valeur de COVAR(X, X) est équivalente à la valeur de VAR(X) et également à la valeur de STDEV(X)^2.

Limitations de la base de données

COVAR est disponible avec les sources de données suivantes : extraits de données Tableau, Cloudera Hive, EXASolution, Firebird (version 3.0 et ultérieure), Google BigQuery, Hortonworks Hadoop Hive, IBM PDA (Netezza), Oracle, PostgreSQL, Presto, SybaseIQ, Teradata, Vertica.

Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d’extraire les données à l’aide de WINDOW_COVAR. Consultez Fonctions de calcul de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

COVARP

SyntaxeCOVARP(expression 1, expression2)
DéfinitionRenvoie la covariance de population de deux expressions.
Remarques

La covariance quantifie dans quelle mesure les deux variables changent ensemble. Une covariance positive indique que les variables tendent à évoluer dans la même direction, comme lorsque des valeurs plus importantes d’une variable tendent à correspondre à des valeurs plus importantes de l’autre variable, en moyenne. La covariance de population est une covariance d’échantillon multipliée par (n-1)/n, où n est le nombre total de points de données non null. La covariance de population est le choix approprié dans les cas où des données sont disponibles pour tous les points d’intérêt par opposition aux cas où il n’existe qu’un sous-ensemble aléatoire d’éléments, dans quel cas la covariance d’échantillon (avec la fonction COVAR) est appropriée.

Si <expression1> et <expression2> sont identiques, par exemple COVARP([profit], [profit]), COVARP renvoie une valeur qui indique dans quelles proportions les valeurs sont distribuées. Remarque : la valeur de COVARP(X, X) est équivalente à la valeur de VARP(X) et également à la valeur de STDEVP(X)^2.

Limitations de la base de données

COVARP est disponible avec les sources de données suivantes : extraits de données Tableau, Cloudera Hive, EXASolution, Firebird (version 3.0 et ultérieure), Google BigQuery, Hortonworks Hadoop Hive, IBM PDA (Netezza), Oracle, PostgreSQL, Presto, SybaseIQ, Teradata, Vertica

Pour les autres sources de données, vous pouvez envisager d’extraire les données à l’aide de WINDOW_COVAR. Consultez Fonctions de calcul de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

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D

DATE

Fonction de conversion de type qui transforme les expressions de chaîne et de nombre en dates, tant qu’elles sont dans un format reconnaissable.

SyntaxeDATE(expression)
RésultatDate
DéfinitionRenvoie une date en fonction d’une <expression> de nombre, de chaîne ou de date.
Exemple
DATE([Employee Start Date])
DATE("September 22, 2018") 
DATE("9/22/2018")
DATE(#2018-09-22 14:52#)
Remarques

Contrairement à DATEPARSE, il n’est pas nécessaire de fournir un modèle car DATE reconnaît automatiquement de nombreux formats de date standard. Si toutefois DATE ne reconnaît pas l’entrée, essayez d’utiliser DATEPARSE et de spécifier le format.

MAKEDATE est une autre fonction similaire, mais MAKEDATE nécessite la saisie de valeurs numériques pour l’année, le mois et le jour.

DATEADD

Ajoute un nombre spécifié de parties de date (mois, jours, etc.) à la date de début.

SyntaxeDATEADD(date_part, interval, date)
RésultatDate
DéfinitionRenvoie la date spécifiée avec l’<interval> de nombre spécifié, ajouté à la <date_part spécifiée de cette date. par exemple en ajoutant trois mois ou 12 jours à une date de début.
Exemple

Repousser toutes les dates d’échéance d’une semaine

DATEADD('week', 1, [due date])

Ajouter 280 jours à la date du 20 février 2021

DATEADD('day', 280, #2/20/21#) = #November 27, 2021#
RemarquesPrend en charge les dates ISO 8601.

DATEDIFF

Renvoie le nombre de parties de date (semaines, années, etc.) entre deux dates.

SyntaxeDATEDIFF(date_part, date1, date2, [start_of_week])
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie la différence entre date1 et date2 exprimée en unités de date_part. Par exemple, soustrayez les dates entre la date d’entrée et de sortie d’une personne dans un groupe pour voir combien de temps elle est restée dans le groupe.
Exemple

Nombre de jours entre le 25 mars 1986 et le 20 février 2021

DATEDIFF('day', #3/25/1986#, #2/20/2021#) = 12,751

Combien de mois une personne est restée dans un groupe

DATEDIFF('month', [date joined band], [date left band])
RemarquesPrend en charge les dates ISO 8601.

DATENAME

Renvoie le nom de la partie de date spécifiée sous forme de chaîne discrète.

SyntaxeDATENAME(date_part, date, [start_of_week])
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <date_part> de date sous la forme d’une chaîne.
Exemple
DATENAME('year', #3/25/1986#) = "1986"
DATENAME('month', #1986-03-25#) = "March"
Remarques

Prend en charge les dates ISO 8601.

Un calcul très similaire est DATEPART, qui renvoie la valeur de la partie de date spécifiée sous la forme d’un entier continu. La fonction DATEPART peut être plus rapide car il s’agit d’une opération numérique.

En modifiant les attributs du résultat du calcul (dimension ou mesure, continu ou discret) et le formatage de la date, les résultats de DATEPART et DATENAME peuvent être formatés pour être identiques.

Une fonction inverse est DATEPARSE, qui prend une valeur de chaîne et la formate en tant que date.

DATEPARSE

Renvoie des chaînes spécifiquement formatées en tant que dates.

SyntaxeDATEPARSE(date_format, date_string)
RésultatDate
DéfinitionL’argument <date_format> décrit comment le champ <date_string> est disposé. Étant donné que le champ de type chaîne peut être disposé de multiples manières, <date_format> doit correspondre exactement. Pour une explication complète, consultez Convertir un champ en un champ de date(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
Exemple
DATEPARSE('yyyy-MM-dd', "1986-03-25") = #March 25, 1986#
Remarques

DATE est une fonction similaire qui reconnaît automatiquement de nombreux formats de date standard. DATEPARSE peut être une meilleure option si DATE ne reconnaît pas le modèle d’entrée.

MAKEDATE est une autre fonction similaire, mais MAKEDATE nécessite la saisie de valeurs numériques pour l’année, le mois et le jour.

Les fonctions inverses, qui séparent les dates et renvoient la valeur de leurs parties, sont DATEPART (sortie entier) et DATENAME (sortie chaîne).

Limitations de la base de données

La fonction DATEPARSE est disponible dans les connecteurs suivants : connexions aux fichiers Excel et texte non hérités, Amazon EMR Hadoop Hive, Cloudera Hadoop, Google Sheets, Hortonworks Hadoop Hive, MapR Hadoop Hive, MySQL, Oracle, PostgreSQL et extraits Tableau. Certains formats peuvent ne pas être disponibles pour toutes les connexions.

DATEPARSE n’est pas pris en charge sur les variantes Hive. Seuls Denodo, Drill et Snowflake sont pris en charge.

DATEPART

Renvoie le nom de la partie de date spécifiée sous la forme d’un entier.

SyntaxeDATEPART(date_part, date, [start_of_week])
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie la <date_part> de date sous la forme d’un entier.
Exemple
DATEPART('year', #1986-03-25#) = 1986
DATEPART('month', #1986-03-25#) = 3
Remarques

Prend en charge les dates ISO 8601.

Un calcul très similaire, DATENAME, renvoie le nom de la partie de date spécifiée sous la forme d’une chaîne discrète. La fonction DATEPART peut être plus rapide car il s’agit d’une opération numérique. En modifiant les attributs du champ (dimension ou mesure, continu ou discret) et le formatage de la date, les résultats de DATEPART et DATENAME peuvent être formatés pour être identiques.

Une fonction inverse est DATEPARSE, qui prend une valeur de chaîne et la formate en tant que date.

DATETIME

SyntaxeDATETIME(expression)
RésultatDatetime
DéfinitionRenvoie une date et une heure en fonction d’un nombre, d’une chaîne ou d’une expression de date.
Exemple
DATETIME("April 15, 2005 07:59:00") = April 15, 2005 07:59:00

DATETRUNC

Cette fonction peut être considérée comme un arrondi de date. Il prend une date spécifique et renvoie une version de cette date avec la spécificité souhaitée. Étant donné que chaque date doit avoir une valeur pour le jour, le mois, le trimestre et l’année, DATETRUNC définit les valeurs comme la valeur la plus basse pour chaque partie de date jusqu’à la partie de date spécifiée. Pour plus d’informations, référez-vous à l’exemple.

SyntaxeDATETRUNC(date_part, date, [start_of_week])
RésultatDate
DéfinitionTronque la <date> selon le degré de précision indiqué par la valeur <date_part>. Cette fonction renvoie une nouvelle date. Par exemple, lorsque vous tronquez une date qui se situe au milieu du mois au niveau mois, cette fonction renvoie le premier jour du mois.
Exemple
DATETRUNC('day', #9/22/2018#) = #9/22/2018#
DATETRUNC('iso-week', #9/22/2018#) = #9/17/2018#

(le lundi de la semaine contenant le 9/22/2018)

DATETRUNC(quarter, #9/22/2018#) = #7/1/2018# 

(le premier jour du trimestre contenant le 9/22/2018)

Remarque : pour la semaine et l’iso-semaine, start_of_week entre en jeu. Les semaines ISO commencent toujours le lundi. Pour les paramètres régionaux de cet exemple, un paramètre non spécifié start_of_week signifie que la semaine commence le dimanche.

Remarques

Prend en charge les dates ISO 8601.

Vous ne devriez pas utiliser DATETRUNC pour, par exemple, arrêter d’afficher l’heure d’un champ date/heure dans une visualisation. Si vous souhaitez tronquer l’affichage d’une date plutôt que d’arrondir sa précision, ajustez la mise en forme(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Par exemple, DATETRUNC('day', #5/17/2022 3:12:48 PM#), s’il est formaté dans la visualisation pour afficher les secondes, s’affichera sous la forme 5/17/2022 12:00:00 AM.

DAY

Renvoie le jour du mois (1-31) sous la forme d’un entier.

SyntaxeDAY(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie le jour d’une <date> donnée sous la forme d’un entier.
Exemple
Day(#September 22, 2018#) = 22
RemarquesVoir également WEEK, MONTH, Trimestre, YEAR et les équivalents ISO

DEGREES

SyntaxeDEGREES(number)

L’argument numérique est l’angle en radians.

RésultatNombre (degrés)
DéfinitionConvertit en degrés un angle exprimé en radians.
Exemple
DEGREES(PI( )/4) = 45.0
Remarques

La fonction inverse, RADIANS, prend un angle en degrés et renvoie l’angle en radians.

Voir également PI().

DISTANCE

SyntaxeDISTANCE(<SpatialPoint1>, <SpatialPoint2>, 'units')
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la mesure de la distance entre deux points dans les units spécifiées.
Exemple
DISTANCE([Origin Point],[Destination Point], 'km')
Remarques

Noms d’unités pris en charge (doivent être entre guillemets dans le calcul) :

  • mètres : mètres, m
  • kilomètres : kilomètres, km
  • miles : miles, mi
  • pieds : pieds, pi
Limitations de la base de donnéesCette fonction ne peut être créée qu’avec une connexion en direct mais continuera à fonctionner si la source de données est convertie en un extrait.

DIV

SyntaxeDIV(integer1, integer2)
RésultatEntier
DéfinitionRetourne la part d’entier d’une opération de division, où <integer1> est divisé par <integer2>.
Exemple
DIV(11,2) = 5

DOMAIN

DOMAIN(string_url)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

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E

ELSE

SyntaxeCASE <expression>
WHEN <value1> THEN <then1>
WHEN <value2> THEN <then2>
...
[ELSE <default>]
END
DéfinitionComposant facultatif d’une expression IF ou CASE servant à spécifier une valeur par défaut à renvoyer si aucune des expressions testées n’est vraie.
Exemple
IF [Season] = "Summer" THEN 'Sandals' 
ELSEIF [Season] = "Winter" THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers' 
END
CASE [Season] 
WHEN 'Summer' THEN 'Sandals'
WHEN 'Winter' THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers'
END
Remarques

Utilisé avec CASE, WHEN, IF, ELSEIF, THEN et END

ELSE est facultatif avec CASE et IF. Dans un calcul où ELSE n’est pas précisé, si aucun des <test> n’est vrai, le calcul global renvoit une valeur null.

ELSE ne requiert pas de condition (telle que [Season] = "Winter") et peut être considéré comme une forme de traitement des valeurs null.

ELSEIF

Syntaxe[ELSEIF <test2> THEN <then2>]
DéfinitionComposant facultatif d’une expression IF servant à spécifier des conditions supplémentaires au-delà du IF initial.
Exemple
IF [Season] = "Summer" THEN 'Sandals' 
ELSEIF [Season] = "Winter" THEN 'Boots'
ELSEIF [Season] = "Spring" THEN 'Sneakers'
ELSEIF [Season] = "Autumn" THEN 'Sneakers'
ELSE 'Bare feet'
END
Remarques

Utilisé avec IF, THEN, ELSE et END

ELSEIF peut être considéré comme une clause IF supplémentaire. ELSEIF est facultatif et peut être répété plusieurs fois.

À la différence de ELSE, ELSEIF requiert une condition (telle que [Season] = "Winter").

END

DéfinitionUtilisé pour fermer une expression IF ou CASE.
Exemple
IF [Season] = "Summer" THEN 'Sandals' 
ELSEIF [Season] = "Winter" THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers' 
END

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Sinon, examiner l’expression suivante. Si Season = Winter, renvoyer Boots. Si aucune des expressions n’est vraie, renvoyer Sneakers. »

CASE [Season] 
WHEN 'Summer' THEN 'Sandals'
WHEN 'Winter' THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers'
END

« Examiner le champ Season. Si la valeur est Summer, renvoyer Sandals. Si la valeur est Winter, renvoyer Boots. Si aucune des options du calcul ne correspond à ce qui est indiqué dans le champ Season, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Utilisé avec CASE, WHEN, IF, ELSEIF, THEN et ELSE.

ENDSWITH

ENDSWITH

SyntaxeENDSWITH(string, substring)
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie la valeur « true » si la <string> donnée se termine par la <substring> indiquée. Les espaces en fin de chaîne sont ignorés.
Exemple
ENDSWITH("Tableau", "leau") = true
RemarquesVoir également la fonction RegEx prise en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

EXCLUDE

Pour plus d’informations, consultez Expressions de niveau de détail(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

EXP

SyntaxeEXP(number)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la valeur e élevée à la puissance du <number> donné.
Exemple
EXP(2) = 7.389
EXP(-[Growth Rate]*[Time])
RemarquesVoir également LN.

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F

FIND

SyntaxeFIND(string, substring, [start])
RésultatNombre
Définition

Renvoie la position d’index de la <substring> dans la <string>, ou 0 si la sous-chaîne est introuvable. Le premier caractère de la chaîne correspond à la position 1.

Si l’argument numérique facultatif start est ajouté, la fonction ignore les instances de la sous-chaîne qui apparaissent avant la position de début.

Exemple
FIND("Calculation", "alcu") = 2
FIND("Calculation", "Computer") = 0
FIND("Calculation", "a", 3) = 7
FIND("Calculation", "a", 2) = 2
FIND("Calculation", "a", 8) = 0
RemarquesVoir également la fonction RegEx prise en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

FINDNTH

SyntaxeFINDNTH(string, substring, occurrence)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la position de la nième occurrence de la <substring> dans la <string>, spécifiée, où n est défini par l’argument d'<occurence>.
Exemple
FINDNTH("Calculation", "a", 2) = 7
Remarques

FINDNTH n’est pas disponible pour toutes les sources de données.

Voir également la fonction RegEx prise en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

FIRST

FIRST()

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

FIXED

Pour plus d’informations, consultez Expressions de niveau de détail(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

FLOAT

SyntaxeFLOAT(expression)
RésultatNombre à virgule flottante (décimale)
DéfinitionConvertit l’argument en nombre à virgule flottante.
Exemple
FLOAT(3) = 3.000
RemarquesVoir également INT qui renvoie un entier.

FLOOR

SyntaxeFLOOR(number)
RésultatEntier
DéfinitionArrondit un <number> au nombre entier le plus proche de valeur inférieure ou égale.
Exemple
FLOOR(7.9) = 7
RemarquesVoir également CEILING et ROUND.
Limitations de la base de données

FLOOR est disponible via les connecteurs suivants : Microsoft Excel, fichier texte, fichier de statistiques, sources de données publiées, Amazon EMR Hadoop Hive, Cloudera Hadoop, DataStax Enterprise, Google Analytics, Google BigQuery, Hortonworks Hadoop Hive, MapR Hadoop Hive, Microsoft SQL Server, Salesforce, Spark SQL.

FULLNAME

SyntaxeFULLNAME( )
RésultatChaîne
Définition

Renvoie le nom complet de l’utilisateur actuel.

Exemple
FULLNAME( )

Renvoie le nom complet de l’utilisateur connecté, par exemple « Hamlin Myrer ».

[Manager] = FULLNAME( )

Si le responsable « Hamlin Myrer » est connecté, cet exemple ne renvoie la valeur TRUE que si la valeur « Hamlin Myrer » est présente dans le champ Manager de la vue.

Remarques

Cette fonction vérifie :

  • Tableau Cloud et Tableau Server : le nom complet de l’utilisateur connecté
  • Tableau Desktop : le nom complet local ou réseau de l’utilisateur

Filtres utilisateur

Lorsqu’il est utilisé en tant que filtre, un champ calculé tel que [Username field] = FULLNAME( ) peut servir à créer un filtre utilisateur qui n’affiche que les données correspondant à la personne connectée au serveur.

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G

GET_JSON_OBJECT

GET_JSON_OBJECT(JSON string, JSON path)

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GROUP_CONCAT

GROUP_CONCAT(expression)

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H

HEXBINX

SyntaxeHEXBINX(number, number)
RésultatNombre
DéfinitionMappe des coordonnées x, y sur les coordonnées x de la classe hexagonale la plus proche. Les classes ayant une longueur latérale de 1, il est possible que vous deviez dimensionner les entrées.
Exemple
HEXBINX([Longitude]*2.5, [Latitude]*2.5)
RemarquesHEXBINX et HEXBINY sont des fonctions de répartition en classes et de tracé pour des classes hexagonales. Les classes hexagonales offrent un moyen efficace et simple pour visualiser les données dans un plan x/y tel qu’une carte. Du fait que les classes sont hexagonales, chaque classe se rapproche d’un cercle et réduit l’écart de distance entre le point de données et le centre de la classe. Cela permet de rendre le clustering plus précis et informatif.

HEXBINY

SyntaxeHEXBINY(number, number)
RésultatNombre
DéfinitionMappe des coordonnées x, y sur la coordonnée y de la classe hexagonale la plus proche. Les classes ayant une longueur latérale de 1, il est possible que vous deviez dimensionner les entrées.
Exemple
HEXBINY([Longitude]*2.5, [Latitude]*2.5)
RemarquesVoir également HEXBINX.

HOST

HOST(string_url)

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I

IF

SyntaxeIF <test1> THEN <then1>
[ELSEIF <test2> THEN <then2>...]
[ELSE <default>]
END
RésultatDépend du type de données des valeurs <then>.
Définition

Teste une série d’expressions et renvoie la valeur <then> pour le premier <test> vrai.

Exemple
IF [Season] = "Summer" THEN 'Sandals' 
ELSEIF [Season] = "Winter" THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers' 
END

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Sinon, examiner l’expression suivante. Si Season = Winter, renvoyer Boots. Si aucune des expressions n’est vraie, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Voir également IF et IIF.

Utilisé avec ELSEIF, THEN, ELSE et END

IFNULL

SyntaxeIFNULL(expr1, expr2)
RésultatDépend du type de données des valeurs <expr>.
Définition

Renvoie <expr1> si celle-ci n’est pas une valeur null, sinon renvoie <expr2>.

Exemple
IFNULL([Assigned Room], "TBD")

« Si le champ Assigned Room n’est pas une valeur null, renvoyer sa valeur. Si le champ Assigned Room est une valeur null, renvoyer TBD à la place. »

Remarques

Comparer avec ISNULL. IFNULL renvoie toujours une valeur. ISNULL renvoie une valeur booléenne (vrai ou faux).

Voir également ZN.

IIF

SyntaxeIIF(<test>, <then>, <else>, [<unknown>])
RésultatDépend du type de données des valeurs dans l’expression.
DéfinitionVérifie si une condition est remplie (<test>), et renvoie <then> si le test est vrai, <else> si le test est faux, et une valeur facultative pour <unknown> si le test est nul. Si l’inconnue facultative n’est pas spécifiée, IIF renvoie une valeur null.
Exemple
IIF([Season] = 'Summer', 'Sandals', 'Other footwear')

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Dans le cas contraire, renvoyer Other footwear »

IIF([Season] = 'Summer', 'Sandals', 
IIF('Season' = 'Winter', 'Boots', 'Other footwear')
)

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Sinon, examiner l’expression suivante. Si Season = Winter, renvoyer Boots. Si ni l’un ni l’autre n’est vrai, renvoyer Sneakers."

IIF('Season' = 'Summer', 'Sandals', 
IIF('Season' = 'Winter', 'Boots',
IIF('Season' = 'Spring', 'Sneakers', 'Other footwear')
)
)

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Sinon, examiner l’expression suivante. Si Season = Winter, renvoyer Boots. Si aucune des expressions n’est vraie, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Voir également IF et CASE.

IIF n’a pas d’équivalent à ELSEIF (comme IF) ou des clauses répétées WHEN (comme CASE). Au lieu de cela, plusieurs tests peuvent être évalués de manière séquentielle par imbrication d’instructions IIF comme l’élément <unknown>. La première valeur « true » (la plus externe) est renvoyée.

Cela signifie que, dans le calcul ci-dessous, le résultat sera Rouge et non Orange, car l’expression cesse d’être évaluée dès que A=A est évalué comme vrai :

IIF('A' = 'A', 'Red', IIF('B' = 'B', 'Orange', IIF('C' = 'D', 'Yellow', 'Green')))

IN

Syntaxe<expr1> IN <expr2>
RésultatBooléen (Vrai ou Faux)
DéfinitionRenvoie TRUE si une valeur dans <expr1> correspond à une valeur dans <expr2>.
Exemple
SUM([Cost]) IN (1000, 15, 200)

« La valeur du champ Cost est-elle 1000, 15 ou 200 ? »

[Field] IN [Set]

« La valeur du champ est-elle présente dans l’ensemble ? »

Remarques

Les valeurs dans <expr2> peuvent être un ensemble, une liste de valeurs littérales ou un champ combiné.

Voir également WHEN.

INCLUDE

Pour plus d’informations, consultez Expressions de niveau de détail(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

INDEX

INDEX( )

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

INT

SyntaxeINT(expression)
RésultatEntier
DéfinitionConvertit l’argument en nombre entier. Dans le cas des expressions, cette fonction tronque le résultat au nombre entier le plus proche de zéro.
Exemple
INT(8/3) = 2
INT(-9.7) = -9
Remarques

Lorsqu’une chaîne est convertie en nombre entier, celui-ci est d’abord converti en nombre à virgule flottante avant d’être arrondi.

Voir également FLOAT qui renvoie une décimale.
Voir également ROUND, CEILING et FLOOR

INTERSECTS

SyntaxeINTERSECTS (<geometry1>, <geometry2>)
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie vrai ou faux pour indiquer si deux géométries se chevauchent dans l’espace.
RemarquesCombinaisons prises en charge : point/polygone, ligne/polygone et polygone/polygone.

ISDATE

Vérifie si la chaîne est un format de date valide.

SyntaxeISDATE(string)
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie la valeur true si une <string> donnée est une date valide.
Exemple
ISDATE(09/22/2018) = true
ISDATE(22SEP18) = false
RemarquesL’argument requis doit être une chaîne. ISDATE ne peut pas être utilisé pour un champ avec un type de données de date. Le calcul renverra une erreur.

ISFULLNAME

SyntaxeISFULLNAME("User Full Name")
RésultatBooléen
Définition

Renvoie la valeur TRUE si le nom complet de l’utilisateur actuel correspond au nom complet spécifié, ou la valeur FALSE si ce n’est pas le cas.

Exemple
ISFULLNAME("Hamlin Myrer")
Remarques

L’argument <"User Full Name"> doit être une chaîne constante, et non une valeur de champ.

Cette fonction vérifie :

  • Tableau Cloud et Tableau Server : le nom complet de l’utilisateur connecté
  • Tableau Desktop : le nom complet local ou réseau de l’utilisateur

ISMEMBEROF

SyntaxeISMEMBEROF("Group Name")
RésultatValeur booléenne ou null
Définition

Renvoie TRUE si la personne qui utilise actuellement Tableau est membre d’un groupe correspondant à la chaîne donnée. Renvoie FALSE sil elle n’est pas membre, et NULL si elle n’est pas connectée.

Exemple
ISMEMBEROF('Superstars')
ISMEMBEROF('domain.lan\Sales')
Remarques

L’argument <"Group Full Name"> doit être une chaîne constante, et non une valeur de champ.

Si l’utilisateur est connecté à Tableau Cloud ou Tableau Server, l’appartenance aux groupes est déterminée par les groupes Tableau. La fonction renvoie TRUE si la chaîne donnée est « Tous les utilisateurs »

La fonction ISMEMBEROF( ) accepte également les domaines Active Directory. Le domaine Active Directory doit être déclaré dans le calcul avec le nom du groupe.

ISNULL

SyntaxeISNULL(expression)
RésultatBooléen (Vrai ou Faux)
Définition

Renvoie la valeur true si l'<expression> est NULL (ne contient pas de données valides).

Exemple
ISNULL([Assigned Room])

« Le champ Assigned Room est-il une valeur null ? »

Remarques

Comparer avec IFNULL. IFNULL renvoie toujours une valeur. ISNULL renvoie une valeur booléenne.

Voir également ZN.

ISOQUARTER

SyntaxeISOQUARTER(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie le trimestre basé sur les semaines ISO8601 d’une <date> donnée sous la forme d’un nombre entier.
Exemple
ISOQUARTER(#1986-03-25#) = 1
RemarquesVoir également ISOWEEK, ISOWEEKDAY, ISOYEAR et les équivalents non-ISO.

ISOWEEK

SyntaxeISOWEEK(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie la semaine basée sur les semaines ISO8601 d’une <date> donnée sous la forme d’un nombre entier.
Exemple
ISOWEEK(#1986-03-25#) = 13
RemarquesVoir également ISOWEEKDAY, ISOQUARTER, ISOYEAR et les équivalents non-ISO.

ISOWEEKDAY

SyntaxeISOWEEKDAY(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie le jour de la semaine basé sur les semaines ISO8601 d’une <date> donnée sous la forme d’un nombre entier.
Exemple
ISOWEEKDAY(#1986-03-25#) = 2
RemarquesVoir également ISOWEEK, ISOQUARTER, ISOYEAR et les équivalents non-ISO.

ISOYEAR

SyntaxeISOYEAR(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie l’année basée sur les semaines ISO8601 d’une date donnée sous la forme d’un nombre entier.
Exemple
ISOYEAR(#1986-03-25#) = 1,986
RemarquesVoir également ISOWEEK, ISOWEEKDAY, ISOQUARTER et les équivalents non-ISO.

ISUSERNAME

SyntaxeISUSERNAME("username")
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie la valeur TRUE si le nom d’utilisateur de l’utilisateur actuel correspond au <username> spécifié, ou FALSE si ce n’est pas le cas.
Exemple
ISUSERNAME("hmyrer")
Remarques

L’argument <"username"> doit être une chaîne constante, et non une valeur de champ.

Cette fonction vérifie :

  • Tableau Cloud et Tableau Server : le nom d’utilisateur de l’utilisateur connecté
  • Tableau Desktop : le nom d’utilisateur local ou réseau de l’utilisateur

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J

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K

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L

LAST

LAST()

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

LEFT

Syntaxe LEFT(string, number)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie le <number> de caractères situés le plus à gauche dans la chaîne.
Exemple
LEFT("Matador", 4) = "Mata"
RemarquesVoir également MID et RIGHT.

LEN

SyntaxeLEN(string)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la longueur de la <string>.
Exemple
LEN("Matador") = 7
RemarquesÀ ne pas confondre avec la fonction spatiale LENGTH.

LENGTH

SyntaxeLENGTH(geometry, 'units')
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la longueur du chemin géodésique de la ou des chaînes de ligne dans la <geometry> en utilisant les <units> spécifiées.
Exemple
LENGTH([Spatial], 'metres')
Remarques

Le résultat est <NaN> si l’argument géométrique n’a pas de chaînes de lignes, bien que d’autres éléments soient autorisés.

À ne pas confondre avec la fonction de chaîne LEN.

LN

SyntaxeLN(number)
Résultat

Nombre

La sortie est Null si l’argument est inférieur ou égal à zéro.

DéfinitionRenvoie le logarithme naturel d’un <number>.
Exemple
LN(50) = 3.912023005
RemarquesVoir également EXP et LOG.

LOG

SyntaxeLOG(number, [base])

Si l’argument de base facultatif n’est pas présent, la base 10 est utilisée.

RésultatNombre
DéfinitionRenvoie le logarithme naturel d’un <number> pour la <base> donnée.
Exemple
LOG(16,4) = 2
RemarquesVoir également POWER LN.

LOG2

LOG2(number)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

LOOKUP

LOOKUP(expression, [offest])

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

LOWER

SyntaxeLOWER(string)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <string> fournie en caractères minuscules.
Exemple
LOWER("ProductVersion") = "productversion"
RemarquesVoir également UPPER et PROPER.

LTRIM

Syntaxe LTRIM(string)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <string> fournie en supprimant les espaces de début.
Exemple
LTRIM(" Matador ") = "Matador "
RemarquesVoir également RTRIM.

LTRIM_THIS

LTRIM_THIS(string, string)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

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M

MAKEDATE

SyntaxeMAKEDATE(year, month, day)
RésultatDate
DéfinitionRenvoie une valeur de date créée à partir des valeurs <year>, <monthg> et <day> spécifiées.
Exemple
MAKEDATE(1986,3,25) = #1986-03-25#
Remarques

Remarque : les valeurs saisies incorrectement seront ajustées dans une date, par exemple MAKEDATE(2020,4,31) = May 1, 2020 plutôt que de renvoyer une erreur indiquant qu’il n’y a pas de 31e jour d’avril.

Disponible pour les extraits de données Tableau. Vérifiez la disponibilité dans d’autres sources de données.

MAKEDATE requiert des entrées numériques pour les parties d’une date. Si vos données sont une chaîne qui devrait être une date, essayez la fonction DATE. DATE reconnaît automatiquement de nombreux formats de date standard. Si DATE ne reconnaît pas l’entrée, essayez d’utiliser DATEPARSE.

MAKEDATETIME

SyntaxeMAKEDATETIME(date, time)
RésultatDatetime
DéfinitionRenvoie des données de date/heure composées d’une <date> et d’une <time>. La date peut être une information de type date, date/heure ou chaîne. L’heure doit être une information de type date/heure.
Exemple
MAKEDATETIME("1899-12-30", #07:59:00#) = #12/30/1899 7:59:00 AM#
MAKEDATETIME([Date], [Time]) = #1/1/2001 6:00:00 AM#
Remarques

Cette fonction est disponible uniquement pour les connexions compatibles MySQL (pour Tableau,ce sont MySQL et Amazon Aurora).

MAKETIME est une fonction similaire disponible pour les extraits de données Tableau et certaines autres sources de données.

MAKELINE

SyntaxeMAKELINE(SpatialPoint1, SpatialPoint2)
RésultatGéométrie (ligne)
DéfinitionGénère un repère de ligne entre deux points
Exemple
MAKELINE(MAKEPOINT(47.59, -122.32), MAKEPOINT(48.5, -123.1))
RemarquesUtile pour créer des cartes origine-destination.

MAKEPOINT

SyntaxeMAKEPOINT(latitude, longitude, [SRID])
RésultatGéométrie (point)
Définition

Convertit les données des colonnes <latitude> et <longitude> en objets spatiaux.

Si l’option facultative <SRID> est ajoutée, les entrées peuvent être d’autres coordonnées géographiques projetées.

Exemple
MAKEPOINT(48.5, -123.1)
MAKEPOINT([AirportLatitude], [AirportLongitude])
MAKEPOINT([Xcoord],[Ycoord], 3493)
Remarques

MAKEPOINT ne peut pas utiliser les champs de latitude et de longitude générés automatiquement. La source de données doit contenir les coordonnées de manière native.

Le SRID est un identificateur de référence spatiale qui utilise les codes du système de référence ESPG(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre) pour spécifier les systèmes de coordonnées. Si SRID n’est pas spécifié, WGS84 est supposé et les paramètres sont traités comme latitude/longitude en degrés.

Vous pouvez utiliser MAKEPOINT pour activer spatialement une source de données afin qu’elle puisse être liée à un fichier de données spatiales à l’aide d’une jointure spatiale. Pour plus d’informations, consultez Lier des fichiers de données spatiales dans Tableau(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

MAKETIME

SyntaxeMAKETIME(hour, minute, second)
RésultatDatetime
DéfinitionRenvoie une valeur de date créée à partir des valeurs <hour>, <minute> et <second> spécifiées.
Exemple
MAKETIME(14, 52, 40) = #1/1/1899 14:52:40#
Remarques

Étant donné que Tableau ne prend pas en charge un type de données d’heure, mais uniquement une date et heure, la sortie est une date et heure. La partie date du champ sera 1/1/1899.

Fonction similaire à MAKEDATETIME, qui n’est disponible que pour les connexions compatibles MYSQL.

MAX

SyntaxeMAX(expression) ou MAX(expr1, expr2)
RésultatMême type de données que l’argument, ou NULL si une partie de l’argument est une valeur null.
Définition

Renvoie la valeur maximum des deux arguments, qui doivent être du même type de données.

MAX peut également être appliqué à un seul champ en tant qu’agrégation.

Exemple
MAX(4,7) = 7
MAX(#3/25/1986#, #2/20/2021#) = #2/20/2021#
MAX([Name]) = "Zander"
Remarques

Pour les chaînes

MAX est généralement la valeur qui vient en dernier dans l’ordre alphabétique.

Pour les sources de données de base de données, la valeur de la chaîne MAX est la valeur la plus élevée dans la séquence de tri définie par la base de données pour cette colonne.

Pour les dates

Pour les dates, MAX est la date la plus récente. Si MAX est une agrégation, le résultat n’aura pas de hiérarchie de dates. Si MAX est une comparaison, le résultat conservera la hiérarchie de dates.

En tant qu’agrégation

MAX(expression) est une fonction d’agrégation et renvoie un seul résultat agrégé. Elle s’affiche sous la forme AGG(expression) dans la visualisation.

En tant que comparaison

MAX(expr1, expr2) compare les deux valeurs et renvoie une valeur au niveau des lignes.

Voir également MIN.

MEDIAN

SyntaxeMEDIAN(expression)
DéfinitionRenvoie la valeur médiane d’une expression dans tous les enregistrements. Les valeurs null sont ignorées.
RemarquesMEDIAN peut uniquement être utilisé avec des champs numériques.
Limitations de la base de données

MEDIAN n’est pas disponible pour les sources de données suivantes : Access, Amazon Redshift, Cloudera Hadoop, HP Vertica, IBM DB2, IBM PDA (Netezza), Microsoft SQL Server, MySQL, SAP HANA, Teradata.

Pour d’autres types de sources de données, vous pouvez extraire vos données dans un fichier d’extrait pour utiliser cette fonction. Voir Extraire vos données(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

MID

Syntaxe(MID(string, start, [length])
RésultatChaîne
Définition

Renvoie une chaîne commençant à partir de la position <start> spécifiée. Le premier caractère de la chaîne correspond à la position 1.

Si l’argument numérique facultatif <length> est ajouté, la chaîne renvoyée inclut uniquement ce nombre de caractères.

Exemple
MID("Calculation", 2) = "alculation"
MID("Calculation", 2, 5) ="alcul"
RemarquesVoir également la fonction RegEx prise en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

MIN

SyntaxeMIN(expression) ou MIN(expr1, expr2)
RésultatMême type de données que l’argument, ou NULL si une partie de l’argument est une valeur null.
Définition

Renvoie la valeur minimum des deux arguments, qui doivent être du même type de données.

MIN peut également être appliqué à un seul champ en tant qu’agrégation.

Exemple
MIN(4,7) = 4
MIN(#3/25/1986#, #2/20/2021#) = #3/25/1986#
MIN([Name]) = "Abebi"
Remarques

Pour les chaînes

MIN est généralement la valeur qui vient en premier dans l’ordre alphabétique.

Pour les sources de données de base de données, la valeur de la chaîne MIN est la valeur la plus faible dans la séquence de tri définie par la base de données pour cette colonne.

Pour les dates

Pour les dates, MIN est la date la plus récente. Si MIN est une agrégation, le résultat n’aura pas de hiérarchie de dates. Si MIN est une comparaison, le résultat conservera la hiérarchie de dates.

En tant qu’agrégation

MIN(expression) est une fonction d’agrégation et renvoie un seul résultat agrégé. Elle s’affiche sous la forme AGG(expression) dans la visualisation.

En tant que comparaison

MIN(expr1, expr2) compare les deux valeurs et renvoie une valeur au niveau des lignes.

Voir également MAX.

Extensions de modèle

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • MODEL_EXTENSION_BOOL
  • MODEL_EXTENSION_INT
  • MODEL_EXTENSION_REAL
  • MODEL_EXTENSION_STR

MODEL_PERCENTILE

SyntaxeMODEL_PERCENTILE(
model_specification (optional),
target_expression,
predictor_expression(s))
DéfinitionRenvoie la probabilité (comprise entre 0 et 1) que la valeur attendue soit inférieure ou égale au repère observé, définie par l’expression cible et d’autres prédicteurs. Il s’agit de la fonction de distribution prédictive postérieure, également appelée fonction de distribution cumulative (CDF).
Exemple
MODEL_PERCENTILE( SUM([Sales]),COUNT([Orders]))

MODEL_QUANTILE

SyntaxeMODEL_QUANTILE(
model_specification (optional),
quantile,
target_expression,
predictor_expression(s))
DéfinitionRenvoie une valeur numérique cible dans la plage probable définie par l’expression cible et d’autres prédicteurs, au quantile spécifié. Il s’agit du quantile prédictif postérieur.
Exemple
MODEL_QUANTILE(0.5, SUM([Sales]), COUNT([Orders]))

MONTH

SyntaxeMONTH(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie le mois d’une <date> donnée sous la forme d’un entier.
Exemple
MONTH(#1986-03-25#) = 3
RemarquesVoir également DAY, WEEK, Trimestre, YEAR et les équivalents ISO

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N

NOT

SyntaxeNOT <expression>
RésultatBooléen (Vrai ou Faux)
DéfinitionNégation logique entre deux expressions.
Exemple
IF NOT [Season] = "Summer" 
THEN 'Don't wear sandals'
ELSE 'Wear sandals' 
END

« Si Season est différent de Summer, renvoyer Don’t wear sandals. Sinon, envoyer Wear sandals. »

Remarques

Souvent utilisé avec IF et IIF. Voir également Dans cette référence, les fonctions de Tableau sont organisées par ordre alphabétique. Cliquez sur une lettre pour accéder à cet emplacement dans la liste. Vous pouvez également utiliser Ctrl+F (Cmd-F sur un Mac) pour ouvrir un champ de recherche et rechercher une fonction spécifique. et OR.

NOW

SyntaxeNOW()
RésultatDatetime
DéfinitionRenvoie la date et l’heure actuelles du système local.
Exemple
NOW() = 1986-03-25 1:08:21 PM
Remarques

NOW ne prend pas d’argument.

Voir aussi TODAY, un calcul similaire qui renvoie une date au lieu d’une date/heure.

Si la source de données est une connexion en direct, la date et l’heure du système peuvent être dans un autre fuseau horaire. Pour plus d’informations sur la résolution de ce problème, consultez la Base de connaissances.

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O

OR

Syntaxe<expr1> OR <expr2>
RésultatBooléen (Vrai ou Faux)
DéfinitionDisjonction logique entre deux expressions.
Exemple
IF [Season] = "Spring" OR [Season] = "Fall" 
THEN "Sneakers"
END

« Si (Season = Spring) ou (Season = Fall) est vrai, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Souvent utilisé avec IF et IIF. Voir également Dans cette référence, les fonctions de Tableau sont organisées par ordre alphabétique. Cliquez sur une lettre pour accéder à cet emplacement dans la liste. Vous pouvez également utiliser Ctrl+F (Cmd-F sur un Mac) pour ouvrir un champ de recherche et rechercher une fonction spécifique. et NOT.

Si l’une des expressions est TRUE, le résultat est TRUE. Si les deux expressions sont FALSE, le résultat est FALSE. Si les deux expressions sont NULL, le résultat est NULL.

Si vous créez un calcul qui affiche le résultat d’une comparaison OR dans une feuille de calcul, Tableau affiche les valeurs TRUE et FALSE. Si vous voulez modifier cela, utilisez la zone de mise en forme dans la boîte de dialogue Mettre en forme.

Remarque : l’opérateur OR utilise l’évaluation en circuit court. Cela signifie que si la première expression est évaluée comme étant TRUE, la seconde expression n’est pas du tout évaluée. Cela peut être utile si la seconde expression renvoie une erreur lorsque la première expression est TRUE, car dans ce cas-là, la seconde expression n’est jamais évaluée.

OUTLINE

SyntaxeOUTLINE(<spatial polygon>)
RésultatGéométrie
DéfinitionConvertit une géométrie de polygone en chaînes de lignes.
Remarques

Utile pour créer une couche séparée pour un contour qui peut avoir un style différent de celui du remplissage.

Prend en charge les polygones au sein de multipolygones.

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P

PARSE_URL

PARSE_URL(string, url_part)

Uniquement pris en charge lorsqu’il est connecté à Cloudera Impala. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

PARSE_URL_QUERY

PARSE_URL_QUERY(string, key)

Uniquement pris en charge lorsqu’il est connecté à Cloudera Impala. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

PERCENTILE

SyntaxePERCENTILE(expression, number)
DéfinitionRenvoie la valeur du centile pour l'<expression> donnée correspondant au <number> indiqué. Le <number> doit être compris entre 0 et 1 (inclus) et doit être une constante numérique.
Exemple
PERCENTILE([Score], 0.9)
Limitations de la base de données

Cette fonction est disponible pour les sources de données suivantes : connexions Microsoft Excel et fichiers texte non héritées, types de sources de données Extraits et Non-extraits uniquement (par exemple, Google Analytics, OData ou Salesforce), sources de données Sybase IQ 15.1 et versions ultérieures, Oracle 10 et versions ultérieures, sources de données Cloudera Hive et Hortonworks Hadoop Hive, sources de données EXASolution 4.2 et versions ultérieures.

Pour d’autres types de sources de données, vous pouvez extraire vos données dans un fichier d’extrait pour utiliser cette fonction. Voir Extraire vos données(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

PI

SyntaxePI()
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la constante numérique pi : 3.14159...
Exemple
PI() = 3.14159
RemarquesUtile pour les fonctions trigonométriques qui prennent leur entrée en radians.

POWER

SyntaxePOWER(number, power)
RésultatNombre
DéfinitionÉlève le <number> à la <power> indiquée.
Exemple
POWER(5,3) = 125
POWER([Temperature], 2)
RemarquesVous pouvez également utiliser le symbole ^, par exemple 5^3 = POWER(5,3) = 125.

Voir également EXP, LOG et SQUARE.

PREVIOUS_VALUE

PREVIOUS_VALUE(expression)

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

PROPER

SyntaxePROPER(string)
RésultatChaîne
Définition

Renvoie la <string> fournie de manière à ce que la première lettre de chaque mot soit en majuscules et les autres lettres en minuscules.

Exemple
PROPER("PRODUCT name") = "Product Name"
PROPER("darcy-mae") = "Darcy-Mae"
Remarques

Les espaces et les caractères non alphanumériques tels que la ponctuation sont traités comme des séparateurs.

Voir également LOWER et UPPER.

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Q

Trimestre

SyntaxeQUARTER(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie le trimestre d’une <date> donnée sous la forme d’un entier.
Exemple
QUARTER(#1986-03-25#) = 1
RemarquesVoir également DAY, WEEK, MONTH, YEAR et les équivalents ISO

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R

RADIANS

SyntaxeRADIANS(number)
RésultatNombre (angle en radians)
DéfinitionConvertit en radians un <number> donné exprimé en degrés.
Exemple
RADIANS(180) = 3.14159
RemarquesLa fonction inverse, DEGREES, prend un angle en radians et le renvoie en degrés.

Fonctions de calcul de table RANK

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • RANK(expression, ['asc' | 'desc'])
  • RANK_DENSE(expression, ['asc' | 'desc'])
  • RANK_MODIFIED(expression, ['asc' | 'desc'])
  • RANK_PERCENTILE(expression, ['asc' | 'desc'])
  • RANK_UNIQUE(expression, ['asc' | 'desc'])

Fonctions RAWSQL

Pour plus d’informations, voir Fonctions de transfert (RAWSQL)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • RAWSQL_BOOL("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQL_DATE("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQL_DATETIME("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQL_INT("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQL_REAL("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQL_SPATIAL
  • RAWSQL_STR("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_BOOL("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_DATE("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_DATETIME("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_INT("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_REAL("sql_expr", [arg1], … [argN])
  • RAWSQLAGG_STR("sql_expr", [arg1], … [argN])

Fonctions REGEXP

Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • REGEXP_EXTRACT(string, pattern)
  • REGEXP_EXTRACT_NTH(string, pattern, index)
  • REGEXP_EXTRACT_NTH(string, pattern, index)
  • REGEXP_MATCH(string, pattern)
  • REGEXP_REPLACE(string, pattern, replacement)

REPLACE

SyntaxeREPLACE(string, substring, replacement
RésultatChaîne
DéfinitionRecherche la valeur <string> pour la valeur <substring> et la remplace par <replacement>. Si la valeur <substring> est introuvable, la chaîne reste inchangée.
Exemple
REPLACE("Version 3.8", "3.8", "4x") = "Version 4x"
RemarquesVoir également REGEXP_REPLACE dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).
SyntaxeRIGHT(string, number)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie le <number> de caractères situés le plus à droite dans la chaîne.
Exemple
RIGHT("Calculation", 4) = "tion"
RemarquesVoir également LEFT et MID.

ROUND

SyntaxeROUND(number, [decimals])
RésultatNombre
Définition

Arrondit le <number> au nombre de chiffres spécifié.

L’argument facultatif decimals indique le nombre de points décimaux de précision à inclure dans le résultat final. Si la valeur decimals n’est pas indiquée, le nombre est arrondi au nombre entier le plus proche.

Exemple
ROUND(1/3, 2) = 0.33
Remarques

Certaines bases de données, telles que SQL Server, autorisent l’indication d’une valeur négative, où -1 arrondit le nombre aux dizaines, -2 arrondit aux centaines, etc. Ce n’est pas le cas pour toutes les bases de données. Ce n’est par exemple pas le cas pour Excel ou Access.

Conseil : ROUND peut rencontrer des problèmes en raison de la représentation sous-jacente des nombres à virgule flottante (par exemple 9,405 arrondi à 9,40). Il peut donc être préférable de formater le nombre avec le nombre de décimales souhaité plutôt que d’arrondir. Le formatage de 9,405 à deux décimales donnera le nombre 9,41 attendu.

Voir également CEILING et FLOOR.

RTRIM

SyntaxeRTRIM(string)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <string> fournie en supprimant les espaces de fin.
Exemple
RTRIM(" Calculation ") = " Calculation"
RemarquesVoir également LTRIM et TRIM.

RTRIM_THIS

RTRIM_THIS(string, string)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Fonctions de calcul de table RUNNING

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • RUNNING_AVG(expression)
  • RUNNING_COUNT(expression)
  • RUNNING_MAX(expression)
  • RUNNING_MIN(expression)
  • RUNNING_SUM(expression)

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S

Extensions analytiques SCRIPT

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • SCRIPT_BOOL
  • SCRIPT_INT
  • SCRIPT_REAL
  • SCRIPT_STR

SHAPETYPE

SyntaxeSHAPETYPE(<geometry>)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie une chaîne décrivant la structure de la géométrie spatiale, telle que Empty, Point, MultiPoint, LineString, MultiLinestring, Polygon, MultiPolygon, Mixed et Non pris en charge.
Exemple
SHAPETYPE(MAKEPOINT(48.5, -123.1)) = "Point"

SIGN

SyntaxeSIGN(number)
Résultat-1, 0 ou 1
DéfinitionRenvoie le signe d’un <number> : les valeurs renvoyées sont -1 si le nombre est négatif, 0 s’il est égal à zéro ou 1 s’il est positif.
Exemple
SIGN(AVG(Profit)) = -1
RemarquesVoir également ABS.

SIN

SyntaxeSIN(number)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie le sinus d’un angle en radians.
Exemple
SIN(0) = 1.0
SIN(PI( )/4) = 0.707106781186548
Remarques

La fonction inverse, ASIN, prend le sinus comme argument et renvoie l’angle en radians.

Voir également PI. Pour convertir un angle de degrés en radians, utilisez RADIANS.

SIZE

SIZE()

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

SPACE

SyntaxeSPACE(number)
RésultatChaîne (plus spécifiquement, juste des espaces)
DéfinitionRenvoie une chaîne constituée du nombre spécifié d’espaces répétés.
Exemple
SPACE(2) = "  "

SPLIT

SyntaxeSPLIT(string, delimiter, token number)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie une sous-chaîne à partir d’une <string>, à l’aide d’un caractère <delimiter> pour diviser la chaîne en une séquence de <tokens>.
Exemple
SPLIT ("a-b-c-d", "-", 2) = "b"
SPLIT ("a|b|c|d", "|", -2) = "c"
Remarques

La chaîne est interprétée comme une séquence alternative de délimiteurs et jetons. Ainsi, pour la chaîne abc-defgh-i-jkl, où le délimiteur est le caractère -, les jetons sont (1) abc, (2) defgh, (3) i, et (4) jlk.

SPLIT renvoie le jeton correspondant au numéro du jeton. Lorsque le numéro de jeton est positif, les jetons sont comptabilisés à partir de l’extrémité gauche de la chaîne ; si le numéro de jeton est négatif, les jetons sont comptabilisés à partir de la droite.

Voir également REGEX pris en charge dans le documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Limitations de la base de données

Les commandes Fractionnement et Fractionnement personnalisé sont disponibles pour les types de sources de données suivants : extraits de données Tableau, Microsoft Excel, fichier texte, fichier PDF, Salesforce, OData, Microsoft Azure Market Place, Google Analytics, Vertica, Oracle, MySQL, PostgreSQL, Teradata, Amazon Redshift, Aster Data, Google Big Query, Cloudera Hadoop Hive, Hortonworks Hive et Microsoft SQL Server.

Certaines sources de données imposent des limites au fractionnement des chaînes. Consultez les limitations de la fonction SPLIT plus loin dans cette rubrique.

SQRT

SyntaxeSQRT(number)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la racine carrée d’un <number>.
Exemple
SQRT(25) = 5
RemarquesVoir également SQUARE.

SQUARE

SyntaxeSQUARE(number)
RésultatNombre
DéfinitionRenvoie le carré d’un <number>.
Exemple
SQUARE(5) = 25
RemarquesVoir également SQRT et POWER.

STARTSWITH

SyntaxeSTARTSWITH(string, substring)
RésultatBooléen
DéfinitionRenvoie true si string commence par substring. Les espaces en début de chaîne sont ignorés.
Exemple
STARTSWITH("Matador, "Ma") = TRUE
RemarquesVoir également CONTAINS, ainsi que REGEX pris en charge dans la documentation des fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

STDEV

SyntaxeSTDEV(expression)
DéfinitionRenvoie l’écart-type statistique de toutes les valeurs dans l’<expression> donnée en fonction d’un échantillon de population.

STDEVP

SyntaxeSTDEVP(expression)
DéfinitionRenvoie l’écart-type statistique de toutes les valeurs dans l’ <expression> donnée en fonction d’une population biaisée.

STR

SyntaxeSTR(expression)
RésultatChaîne
DéfinitionConvertit l’argument en chaîne.
Exemple
STR([ID])

SUM

SyntaxeSUM(expression)
DéfinitionRenvoie la somme de toutes les valeurs de l’<expression>. Les valeurs null sont ignorées.
RemarquesSUM peut uniquement être utilisé avec des champs numériques.

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T

TAN

SyntaxeTAN(number)

L’argument <number> est l’angle en radians.

RésultatNombre
DéfinitionRenvoie la tangente d’un angle.
Exemple
TAN(PI ( )/4) = 1.0
RemarquesVoir également ATAN, ATAN2, COT et PI. Pour convertir un angle de degrés en radians, utilisez RADIANS.

THEN

SyntaxeIF <test1> THEN <then1>
[ELSEIF <test2> THEN <then2>...]
[ELSE <default>]
END
DéfinitionUne partie obligatoire d’une expression IF, ELSEIF ou CASE, utilisée pour définir le résultat à renvoyer si une valeur ou un test spécifique est « true ».
Exemple
IF [Season] = "Summer" THEN 'Sandals' 
ELSEIF [Season] = "Winter" THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers' 
END

« Si Season = Summer, renvoyer Sandals. Sinon, examiner l’expression suivante. Si Season = Winter, renvoyer Boots. Si aucune des expressions n’est vraie, renvoyer Sneakers. »

CASE [Season] 
WHEN 'Summer' THEN 'Sandals'
WHEN 'Winter' THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers'
END

« Examiner le champ Season. Si la valeur est Summer, renvoyer Sandals. Si la valeur est Winter, renvoyer Boots. Si aucune des options du calcul ne correspond à ce qui est indiqué dans le champ Season, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Utilisé avec CASE, WHEN, IF, ELSEIF, THEN, ELSE et END

TIMESTAMP_TO_USEC

TIMESTAMP_TO_USEC(expression)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

TLD

TLD(string_url)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

TODAY

SyntaxeTODAY()
RésultatDate
DéfinitionRenvoie la date du système local actuel.
Exemple
TODAY() = 1986-03-25
Remarques

TODAY ne prend pas d’argument.

Voir aussi NOW, un calcul similaire qui renvoie une date/heure au lieu d’une date.

Si la source de données est une connexion en direct, la date du système peut être dans un autre fuseau horaire. Pour plus d’informations sur la résolution de ce problème, consultez la Base de connaissances.

TOTAL

TOTAL(expression)

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

TRIM

SyntaxeTRIM(string)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <string> fournie en supprimant les espaces de début et de fin.
Exemple
TRIM(" Calculation ") = "Calculation"
RemarquesVoir également LTRIM et RTRIM.

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U

UPPER

SyntaxeUPPER(string)
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie la <string> fournie en caractères majuscules.
Exemple
UPPER("Calculation") = "CALCULATION"
RemarquesVoir également PROPER et LOWER.

USEC_TO_TIMESTAMP

USEC_TO_TIMESTAMP(expression)

Pris en charge uniquement si connecté à Google BigQuery. Pour plus d’informations, consultez Fonctions supplémentaires(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

USERDOMAIN

SyntaxeUSERDOMAIN( )
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie le domaine de l’utilisateur actuel.
Remarques

Cette fonction vérifie :

  • Tableau Cloud et Tableau Server : le domaine utilisateur de l’utilisateur connecté
  • Tableau Desktop : le domaine local si l’utilisateur se trouve sur un domaine

USERNAME

SyntaxeUSERNAME( )
RésultatChaîne
DéfinitionRenvoie le nom d’utilisateur de l’utilisateur actuel.
Exemple
USERNAME( )

Renvoie le nom d’utilisateur de l’utilisateur connecté, par exemple « hmyrer ».

[Manager] = USERNAME( )

Si le responsable « hmyrer » est connecté, cet exemple ne renvoie la valeur TRUE que si la valeur « hmyrer » est présente dans le champ Manager de la vue.

Remarques

Cette fonction vérifie :

  • Tableau Cloud et Tableau Server : le nom d’utilisateur de l’utilisateur connecté
  • Tableau Desktop : le nom d’utilisateur local ou réseau de l’utilisateur

Filtres utilisateur

Lorsqu’il est utilisé en tant que filtre, un champ calculé tel que [Username field] = USERNAME( ) peut servir à créer un filtre utilisateur qui n’affiche que les données correspondant à la personne connectée au serveur.

Fonctions du jeton Web USER ATTRIBUTE JSON

  • USERATTRIBUTE('attribute_name')
  • USERATTRIBUTEINCLUDES('attribute_name', 'expected_value')

Pour plus d’informations, consultez Fonctions utilisateur(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

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V

VAR

SyntaxeVAR(expression)
DéfinitionRenvoie la variance statistique de toutes les valeurs dans l’expression donnée en fonction d’un échantillon de population.

VARP

SyntaxeVARP(expression)
DéfinitionRenvoie la variance statistique de toutes les valeurs dans l’expression donnée de la totalité de la population.

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W

WEEK

SyntaxeWEEK(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie la semaine d’une <date> donnée sous la forme d’un entier.
Exemple
WEEK(#1986-03-25#) = 13
RemarquesVoir également DAY, MONTH, Trimestre, YEAR et les équivalents ISO

WHEN

SyntaxeCASE <expression>
WHEN <value1> THEN <then1>
WHEN <value2> THEN <then2>
...
[ELSE <default>]
END
DéfinitionUne partie obligatoire d’une expression CASE. Trouve la première <value> correspondant à <expression> et renvoie la valeur <then> correspondante.
Exemple
CASE [Season] 
WHEN 'Summer' THEN 'Sandals'
WHEN 'Winter' THEN 'Boots'
ELSE 'Sneakers'
END

« Examiner le champ Season. Si la valeur est Summer, renvoyer Sandals. Si la valeur est Winter, renvoyer Boots. Si aucune des options du calcul ne correspond à ce qui est indiqué dans le champ Season, renvoyer Sneakers. »

Remarques

Utilisé avec CASE, THEN, ELSE et END.

CASE prend également en charge la construction WHEN IN, par exemple :

CASE <expression> 
WHEN IN <set1> THEN <then1>
WHEN IN <combinedfield> THEN <then2>
...
ELSE <default>
END

Les valeurs de comparaison pour WHEN IN peuvent être un ensemble, une liste d’expressions littérales ou un champ combiné. Voir également IN.

Calculs de table WINDOW

Pour plus d’informations, consultez Fonctions de calculs de table(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • WINDOW_AVG(expression, [start, end])
  • WINDOW_CORR(expression1, expression2, [start, end])
  • WINDOW_COUNT(expression, [start, end])
  • WINDOW_COVAR(expression1, expression2, [start, end])
  • WINDOW_COVARP(expression1, expression2, [start, end])
  • WINDOW_MAX(expression, [start, end])
  • WINDOW_MEDIAN(expression, [start, end])
  • WINDOW_MIN(expression, [start, end])
  • WINDOW_PERCENTILE(expression, number, [start, end])
  • WINDOW_STDEV(expression, [start, end])
  • WINDOW_STDEVP(expression, [start, end])
  • WINDOW_SUM(expression, [start, end])
  • WINDOW_VAR(expression, [start, end])
  • WINDOW_VARP(expression, [start, end])

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X

Fonctions XPATH.

Pris en charge uniquement si connecté à Hadoop Hive. Pour plus d’informations, voir Fonctions de transfert (RAWSQL)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre).

  • XPATH_BOOLEAN(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_DOUBLE(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_FLOAT(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_INT(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_LONG(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_SHORT(XML string, XPath expression string)
  • XPATH_STRING(XML string, XPath expression string)

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Y

YEAR

SyntaxeYEAR(date)
RésultatEntier
DéfinitionRenvoie l’année d’une <date> donnée sous la forme d’un entier.
Exemple
YEAR(#1986-03-25#) = 1,986
RemarquesVoir également DAY, WEEK, MONTH, Trimestre et les équivalents ISO

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Z

ZN

SyntaxeZN(expression)
RésultatDépend du type de données de l’<expression>, ou 0.
DéfinitionRenvoie <expression> si celle-ci n’est pas nulle, sinon renvoie zéro.
Exemple
ZN([Test Grade])

« Si la note du test n’est pas une valeur null, renvoyer sa valeur. Si la note du test est une valeur null, renvoyer 0. »

Remarques

ZN est un cas spécialisé de IFNULL où l’alternative, si l’expression est une valeur null, est toujours 0 plutôt que d’être spécifiée dans le calcul.

ZN est particulièrement utile lors de l’exécution de calculs supplémentaires et une valeur null rendrait l’ensemble du calcul nul. Cependant, soyez prudent en interprétant ces résultats car une valeur null n’est pas toujours synonyme de 0 et pourrait représenter des données manquantes.

Voir également ISNULL.

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Voir également

Fonctions de Tableau (par catégorie)(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Fonctions dans Tableau(Le lien s’ouvre dans une nouvelle fenêtre)

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